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Si vous vous demandez pourquoi vos prospects hésitent ou abandonnent avant de passer à l’achat, cet épisode est fait pour vous. Je partage avec vous les 3 erreurs les plus fréquentes qui empêchent les prospects de devenir clients. Mais surtout, je vous explique comment les éviter, pour transformer vos efforts marketing en véritables résultats.
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Transcription de l’épisode
Il y a quelques années, j’ai travaillé avec une entreprise qui avait tout pour réussir. Une super offre, une équipe motivée, et un budget marketing solide. Mais malgré tout ça, leurs ventes stagnaient.
Quand je suis arrivée, leur équipe marketing était complètement frustrée. Ils faisaient tout ce qu’on leur avait dit de faire : des publicités sur les réseaux sociaux, des campagnes d’emailing, des contenus postés régulièrement… Mais les prospects semblaient s’arrêter à mi-chemin. Beaucoup montraient de l’intérêt, mais très peu allaient jusqu’à l’achat.
Alors, on a creusé ensemble. On a analysé leur stratégie et identifié les erreurs qui faisaient fuir leurs prospects. Et là, tout a changé. Quelques ajustements plus tard, leurs conversions ont décollé. Pas parce qu’ils avaient tout réinventé, mais parce qu’ils avaient compris comment éviter ces fameuses erreurs fatales.
Alors si vous vous demandez pourquoi vos prospects hésitent ou abandonnent avant de passer à l’achat.
Si c’est le cas, cet épisode est fait pour vous. Aujourd’hui, je vais partager les 3 erreurs les plus fréquentes qui empêchent les prospects de devenir clients. Mais surtout, je vais vous expliquer comment les éviter, pour transformer vos efforts marketing en véritables résultats.
Installez-vous confortablement, prenez de quoi noter, et c’est parti pour décrypter ces 3 pièges et, enfin, les surmonter !
Bon, si vous écoutez ce podcast régulièrement, le premier point, la première grosse erreur ne va pas vous surprendre. Je sais, je suis désolée, j’en parle tout le temps, mais j’en parlais encore très récemment avec une marketeuse d’une très grosse entreprise. Elle est d’accord avec moi, c’est quand même la base et c’est surtout ce qui est bien souvent mal fait par la plupart des entreprises et même de grosses entreprises. La première des grosses erreurs, c’est de ne pas comprendre réellement son client cible, son fameux persona.
Si vous ne comprenez pas qui est cette personne et surtout quelles sont ses motivations, quelles sont ses erreurs, qu’est-ce qu’elle sait, qu’est-ce qu’elle comprend, vous n’allez pas pouvoir répondre correctement à sa demande et vous n’allez pas non plus pouvoir communiquer correctement envers elle. Donc ça, c’est vraiment l’erreur numéro un. La difficulté avec cette histoire de persona, c’est que la plupart des chefs d’entreprise, la plupart des services marketing, vous diront qu’ils connaissent parfaitement leur persona.
manque de peau, ils sont souvent bien à côté. Pourquoi est-ce qu’on a l’impression de connaître son persona ? Parce que le persona, ça fait partie des premières leçons, entre guillemets, que vous allez suivre en école de commerce lorsque vous allez travailler un cours de marketing. Donc on a tous l’impression d’avoir fait ça des milliers, des millions de fois que c’est la base. La réalité, c’est que d’abord, peu d’équipes, en tout cas c’est mon expérience, peu d’équipes font réellement cet exercice du persona.
C’est-à-dire qu’elles imaginent vite fait, tiens mon persona, c’est Aurélie, elle a 45 ans, deux enfants, elle habite à Paris. Ça, c’est pas un persona. D’abord, c’est une image comme ça qui sort rapidement de l’esprit d’un responsable marketing. C’est pas quelque chose qui a été travaillé et surtout un persona, va bien plus loin que ça. Souvent, quand on vous parle de persona, on imagine, vous savez, un portrait robot. Un portrait robot avec un petit photo, mettons, sur le côté et puis nom, prénom, âge, situation familiale, métier, etc.
Alors c’est pas inintéressant, attention je dis pas que c’est inintéressant de se poser la question de est-ce que c’est un homme une femme est-ce qu’elle s’appelle Aurélie ou Jocelyne ça va peut-être pas nous dire la même chose est-ce qu’elle a 45 ans ou 32 ans est-ce qu’elle a un chien ou pas de chien tous ces éléments là sont intéressants mais ils sont pas primordiales la réalité c’est que si vous ne faites qu’un portrait robot vous aurez une part de l’histoire mais une part infime de l’histoire c’est en fait trop générique de ne rester qu’à la description démographique d’une personne. Ça va nous aider, surtout si vous êtes sur un produit de grande consommation. Ça va nous aider, ça va nous apporter des éléments, mais ça n’est pas suffisant.
Pour travailler un persona, vous allez besoin d’aller creuser bien plus en détail les motivations et les freins, les contraintes de votre prospect, de votre futur client. Parce que si vous ne le faites pas, 1, il risque de jamais devenir prospect parce que vous n’aurez pas les bons messages, il risque de ne pas comprendre que votre produit, votre service est fait pour lui, qu’il en a besoin. Parfois, il n’a même pas conscience qu’il a besoin de vous.
Donc il est très important déjà de comprendre où il ou elle en est pour pouvoir lui adresser le bon message, ça c’est la première chose. Mais ça à la rigueur, c’est le message pour que cette personne devienne prospet. Là aujourd’hui, on s’attarde sur le moment où on est déjà prospet, on a déjà identifié la personne, la bonne personne, on essaye de la transformer en client. Si vous restez trop générique, vous ne saurez pas ce qu’il faut faire, ce qu’il faut dire, ce qu’il faut faire comprendre à votre prospect pour qu’il passe cette fameuse étape de la prise de décision. Garder en tête que prendre une décision d’achat, c’est complexe. Garder en tête que prendre une décision d’achat, c’est un risque. Il faut être prêt à prendre ce risque pour prendre une décision d’achat et pour être prêt à prendre un risque, il faut avoir un certain nombre d’informations.
Ça peut être des informations très théoriques, vous avez besoin de tels éléments pour arriver à tels résultats, et puis ça peut être des éléments beaucoup plus émotionnels. Vous avez besoin de ressentir telle émotion pour comprendre que bien oui, il a un ailleurs, il a un futur, il y a d’autres choses auxquelles vous pouvez aspirer. Quoi qu’il en soit, tout ça, ça va passer par une compréhension très précise, très fine de votre personnage.
Et je vais vous dire, ça va plus loin. Ça va plus loin, surtout en ce moment. On ne pas se raconter de bêtises, 2024 a été une année particulièrement difficile pour beaucoup, beaucoup d’entreprises. Si elle a été difficile pour vous, dites-vous que c’est à peu près normal. À peu près toutes les entreprises indépendantes ou entreprises structurées avec qui je parle, pour tout le monde, 2024 a été très difficile. Il y a de bonnes chances que 2025 ne pas beaucoup, beaucoup plus simple.
je veux pas vous alerter, mais enfin en tout cas il n’y a pas de raison que ça redevienne entre guillemets facile ou en tout cas plus facile d’un coup. Donc on est dans une situation de crise ou en tout cas d’interrogation, d’incertitude. Les clients, qu’ils soient B2B ou B2C, les clients sont plus réticents à prendre des décisions d’achat, les budgets sont plus…
Estelle (08:47.598)
les budgets sont plus contraints, plus restreints, donc nécessairement, ça devient plus complexe. Si vous restez dans la situation qu’on avait jusqu’à maintenant et qui souvent suffisait, la situation où vous connaissez votre persona, vous avez fait le travail, plus que juste Aurélie, 45 ans, habite à Paris, deux enfants. Vous connaissez votre persona, vous savez ce que votre persona a besoin de comprendre, de savoir, c’est déjà très bien.
Ça risque maintenant de ne pas suffire. Maintenant, vous avez besoin de comprendre l’ensemble de l’environnement de votre persona, c’est-à-dire ce qui se passe dans sa tête. Mais ce qui se passe, c’est-à-dire ce qui se passe dans sa tête lorsqu’elle est avec vous, c’est-à-dire lorsqu’elle considère travailler potentiellement avec vous. Mais vous avez besoin aussi de comprendre pourquoi Aurélie ne travaille pas avec vous, pourquoi Aurélie va travailler avec un concurrent, que fait ?
Aurélie, quand elle se pose la question d’avoir un service ou un produit qui correspond au vôtre, quels sont ces raisonnements, quelles sont ces contraintes, qu’est-ce qu’elle va regarder maintenant ? Peut-être qu’elle ne regardait pas la même chose d’ailleurs il y a trois ans, il a quatre ans, il y a cinq ans. Donc c’est intéressant d’aller véritablement creuser le comportement de votre personnage et aussi le comportement de votre personnage lorsqu’il choisit de ne pas travailler avec vous. C’est cela.
c’est là que vous trouverez les clés pour sortir du lot malgré la crise, malgré les difficultés. Les gens continuent bien évidemment de consommer, peut-être moins, peut-être plus lentement, enfin ils continuent de consommer. En revanche, ils vont aller vers les produits, les services, les marques qui leur parlent réellement. Le persona n’a jamais été une étape aussi importante.
Erreur numéro 2, proposer du contenu mais proposer le mauvais contenu. Oui, alors vous le savez, j’en parlais notamment la semaine dernière, j’en parle souvent. Moi, suis convaincue que la création de contenu est la clé. Ou en tout cas est une stratégie à véritablement ou en tout cas être une stratégie à véritablement considérer, qu’on soit un indépendant ou une grosse entreprise, pour moi dans tous les cas, si on n’a pas intégré la création de contenu, et la création notamment de contenu long, mais la création de contenu en général dans sa stratégie, on passe à côté d’énormes opportunités.
Le problème, c’est que bien souvent, on me dit, oui, mais enfin moi, Estelle, je crée du contenu. Par exemple, je poste sur les réseaux sociaux ou alors même j’ai un podcast, j’ai un blog, j’ai une chaîne YouTube. Sauf que ça marche pas. Ça marche pas, ça convertit pas, je comprends pas, j’ai pas forcément autant d’écoute que je veux ou alors j’ai des écoutes, mais ça reste juste des écoutes. Il ne se passe rien. C’est beaucoup de temps, c’est beaucoup d’énergie et c’est vrai. Donc autant que ça serve à quelque chose. Il est évident que si vous vous lancez dans la création de contenu et que vous n’avez pas de conversion derrière, que vous n’avez pas des ventes en plus, des revenus en croissance, vous allez vous fatiguer très très vite, c’est bien normal.
Bon, mais alors pourquoi est-ce que le contenu qu’on crée ne se transformerait pas en vente ? Parce que c’est quand même bien ça l’idée, on crée pas du contenu pour le plaisir de créer du contenu. Évidemment que c’est pour attirer d’une part des prospects.
Évidemment que c’est pour attirer d’une part des prospects à nous et puis d’autre part pour les convertir en clients. C’est le but. Alors raison numéro un pour laquelle votre création de contenu ne fonctionne pas, c’est parce que vous parlez de choses qui vous intéressent vous, mais qui intéressent pas vos clients. Ça, c’est l’erreur que je vois le plus souvent dans les stratégies de création de contenu. On cherche des thèmes, on cherche des sujets, c’est un petit peu ça aussi qui est difficile, qui est délicat dans la création de contenu. Il faut se renouveler en permanence, avoir des choses à dire. Avec ce podcast ici,
On en est à l’épisode 265, autant vous dire que toutes les semaines, je me creuse un peu la tête en me disant mais qu’est-ce que je vais bien pouvoir raconter ? Ce qu’il faut absolument avoir en tête, il faut se le redire, ce qu’il faut absolument avoir en tête, c’est que ce qui nous intéresse nous, le créateur de contenu, la créatrice de contenu, on s’en fiche. Ce qui est un peu, les sujets qu’il faut traiter, ce sont les sujets qui intéressent ou qui vont faire réagir notre audience.
ce ne sont pas les sujets qui nous intéressent nous parce que nous ne sommes pas l’audience cible. Nous savons déjà… Nous savons déjà beaucoup de choses qui…
D’une part, nous ne serions peut-être pas nos propres clients, mais quand bien même on serait nos propres clients, parce que souvent on me dit non mais justement moi Estelle, il se trouve que mon personnage me ressemble.
J’entends très souvent ça, c’est assez normal d’ailleurs, mais ça n’est pas parce que votre persona vous ressemble que traiter des sujets qui vous intéressent vous va suffire à transformer vos prospects en clients parce que vous savez plus de choses que votre audience. Donc ça ne marchera pas, il faut impérativement vous remettre dans les chaussures de vos prospects pour comprendre les sujets qui vont les intéresser.
Ne soyez pas trop générique, ne soyez pas trop précis non plus, posez-vous la question de quels sont les éléments qu’il ou elle a besoin de comprendre, de savoir qu’est-ce qui va faire réagir cette personne, qu’est-ce qui va l’amener à avancer sur le chemin du parcours consommateur, et non pas de quoi ai-je envie de parler.
Et ça, c’est vrai sur le contenu long et c’est vrai aussi sur le contenu court. Sur les réseaux sociaux, a tendance, parce qu’on parle de réseaux sociaux, on a tendance à dire, il faut que je parle de choses qui m’intéressent. On m’a dit de faire du personal branding, il faut que je me montre et il faut que je montre les sujets que je maîtrise, les sujets qui m’intéressent. Oui, certes, ça peut être intéressant pour construire une personnalité, pourquoi pas, mais ça ne va pas suffire parce qu’encore une fois…
Le personnel branding, ça n’est jamais qu’un personnage. L’idée n’est pas de montrer la personne exactement telle que vous êtes, vous pouvez le faire, ce n’est pas la question. Mais l’idée, c’est quand même bien clairement de faire réagir votre audience et d’amener votre audience à avancer. Donc, il faut lui proposer le bon contenu, le contenu qui correspond, le contenu, le contenu qui correspond à vos prospects.
Bon, mais alors à quoi ça correspond ? Le bon contenu. Il y a plein de façons de faire les choses. Il y a quand même une règle ou en tout cas un schéma qui est utilisé depuis la nuit des temps sur le marketing. C’est un schéma en trois étapes, je vous le donne en anglais, considéré… Notoriété, considération… C’est un schéma en trois étapes, notoriété…
considération et prise de décision. Si vous réfléchissez deux minutes…
Si vous réfléchissez bien, vous le connaissez certainement sous un autre nom qu’on voit beaucoup beaucoup en ce moment, TOFU, MOFU, BOFU, c’est-à-dire top of the funnel, middle of the funnel, bottom of the funnel, c’est-à-dire vous savez ce…
c’est-à-dire top of the funnel, le haut du tunnel de vente, middle of the funnel, le milieu du tunnel de vente et bottom of the funnel, le fin, le bas du tunnel de vente. En fait, vous faites avancer votre client, votre prospect dans ce cheminement de décision d’achat. D’abord, il a besoin de savoir, un, qu’il a un problème à résoudre, deux, que vous existez, c’est le awareness. D’abord, il a besoin de savoir que…
D’abord, il a besoin de savoir qui a un problème et que vous existez, c’est la notoriété, le haut du funnel. Ensuite, il a besoin de se poser la question, alors attendez, vers qui je vais me tourner pour résoudre ce problème ? En général, il va regarder un petit peu l’ensemble du marché ou une partie du marché, vos concurrents, c’est la considération. Et enfin, le bottom of the funnel, le bas du funnel, c’est la décision, la prise de décision, ce qui va l’amener à se poser cette question. Tofu, mofu, bofu.
Notoriété, considération, décision, c’est la même chose. Pour faire simple, votre création de contenu doit suivre ce schéma en trois étapes, notoriété, considération, décision. Vous n’êtes pas obligé de mettre 30 % de notoriété, vous n’êtes pas obligé de mettre un tiers de notoriété, un tiers de considération, un tiers de décision. Parce que la réalité, pensez à ce tunnel, à cet entonnoir de conversion, vous avez beaucoup plus de gens
à travailler sur la notoriété que de gens à travailler sur la décision d’achat. Donc vous pouvez passer un temps un peu plus gros sur la notoriété, la considération, et puis on dit souvent 20 % du temps, 10 % du temps, 15 % du temps sur la décision d’achat. Mais il ne faut pas oublier de travailler la décision d’achat. Bien souvent, je vois sur les réseaux sociaux notamment, mais pas que, des gens travailler la notoriété, éventuellement la considération, ce même pas toujours fait.
mais la décision d’achat beaucoup moins. Il est important de parler de vos offres.
et parler de vos offres, ça ne veut pas nécessairement dire faire de la promotion, au sens réduction, solde, venez acheter, c’est maintenant, ça ferme dans trois jours. Non, pas nécessairement. C’est le simple fait de dire que vous avez une offre. Si vous ne le dites pas, si vous n’en parlez pas, et ça peut être au détour d’une conversation, c’est pas nécessairement un contenu spécifiquement pour annoncer le fait que vous avez quelque chose à ventre. On peut le faire de façon plus fine, pourquoi pas.
Mais en revanche, faut impérativement que votre audience sache exactement ce que vous vendez. Si elle ne le sait pas, elle ne peut pas prendre la décision de travailler avec vous.
On arrive à la troisième erreur qui fait que vos prospects restent des prospects et ne deviennent jamais des clients. Vous négligez le suivi et la personnalisation. Ben oui, posez-vous la question de pourquoi est-ce que vos prospects abandonnent en cours de route ? En tout cas certains de vos prospects abandonnent en cours de route. Il y a une raison. Pourquoi n’achètent-ils pas ? Pourquoi sortent-ils de votre offre pour peut-être d’ailleurs aller chez vos concurrents ?
Ou alors pourquoi sortent-ils de votre offre pour ne rien faire ? Les deux questions sont tout à fait valables. Il faut aller chercher les informations,il faut aller chercher votre prospect et le confronter à sa prise de décision. Souvenez-vous qu’il est difficile de prendre une décision d’achat sans… Si on en a l’occasion, on va avoir tendance à s’échapper. Si on pense à l’e-commerce, l’une des actions de suivi qui est primordiale, c’est le rappel de panier.
Vous l’avez certainement déjà vécu, vous allez sur un site e-commerce, vous commencez à faire vos emplètes, vous mettez des choses dans le panier et puis il se passe quelque chose, c’est l’heure d’aller chercher les enfants à l’école, vous avez un email qui pop-up ou alors je sais pas, la tarte qui sonne dans le four, peu importe, il a plein de choses dans la vie qui vont faire que vous allez vous arrêter en cours de route
et que vous allez faire autre chose. Il est nécessaire… Il est nécessaire de revenir chercher votre prospect sinon vous avez toutes les chances qu’il ne revienne jamais de lui-même. C’est la vie, on a énormément de sollicitations donc venez vous rappeler à son bon souvenir. Ce n’est pas parce qu’un prospect n’a pas acheté qu’il ne veut pas acheter. Ça c’est vraiment une phrase importante. Bien souvent on se dit non mais il est venu, il n’a pas acheté, c’est que mon produit ne correspond pas.
c’est que mon produit ne lui correspond pas, pas forcément. S’il n’a pas acheté, c’est peut-être parce qu’il s’est passé quelque chose et que cette personne a besoin d’avoir un suivi commercial. Si on est… Là, je vous parle du e-commerce, mais ça vaut aussi si vous êtes dans une démarche de prospection directe avec vos clients. Ça n’est pas parce que vous avez envoyé un email à votre prospect ou vous avez eu votre prospect au téléphone et vous avez discuté d’une offre et il ne revient pas vers vous qu’il ne veut pas acheter.
vous devez impérativement travailler votre suivi.
Un suivi, vous devez relancer, vous devez relancer vos prospects. Alors je sais que beaucoup de gens ont du mal à relancer parce qu’on a l’impression d’être un peu casse-pieds, d’embêter les gens, d’aller les chercher alors qu’on croit qu’ils nous ont dit non. Encore une fois, ça n’est pas parce qu’ils n’ont pas acheté, ça n’est pas parce qu’ils n’ont pas répondu qu’ils ont dit non, c’est très probablement qu’ils sont très occupés par ailleurs. Donc pensez à faire des relances, que ce soit par email, que ce soit en direct, que ce soit automatique ou que ce soit manuel. Pensez à faire des relances, faites-les intelligemment, ne soyez pas…
Ne soyez pas trop lourd bien sûr, mais pensez à faire des relances, vous allez récupérer énormément de monde de cette façon.
Alors comment est-ce qu’on fait les relances ? Il y a deux stratégies principales. La première stratégie, c’est l’automatisme. C’est-à-dire que vous avez un scénario, s’il se passe quelque chose, automatiquement, a une relance qui est appliquée au bout de X temps. Typiquement, ça va être votre panier abandonné. Quelqu’un a mis au panier un certain nombre de produits et puis est parti ailleurs sur un autre site, fermé son ordinateur. Au bout d’un temps que vous allez définir, que ce soit une heure, 24 heures, une semaine, je n’en sais rien, peu importe, ça va dépendre, bien évidemment.
du type de produit que vous proposez, au bout d’un certain temps, automatiquement, vous allez pousser un email ou un SMS par exemple à cette personne pour lui dire, je vous rappelle que vous avez mis au panier tels et tels articles, ils vous attendent toujours, vous avez tous et toutes déjà reçu ce type de message, ce type de message peuvent rapporter entre 15 et 20 % de chiffres en plus. Donc c’est vraiment pas anodin, c’est un automatisme, vous le mettez en place une fois,
Vous revenez voir régulièrement les stats pour voir si vous l’avez mis en place correctement, si vous avez le bon message, bien évidemment, le bon timing. Mais une fois qu’il est mis en place, il est mis en place, il travaille tout seul. Donc il ne faut surtout pas s’en priver. Et puis si vous travaillez en manuel, c’est-à-dire si vous avez des clients avec lesquels vous discutez, soit par écrit, soit par oral, le mieux, c’est d’avoir un CRM. Un CRM, c’est-à-dire un logiciel qui va vous permettre…
de suivre l’ensemble de vos prospects et de suivre un petit peu l’historique de ces prospects quand est-ce que vous devez les relancer. Si vous avez très peu de prospects, commencez par un simple fichier Excel. C’est aussi bête que ça. Vous marquez, vous inscrivez le nom du prospect sans contact, pourquoi est-ce que vous l’avez contacté ou pourquoi est-ce qu’il vous a contacté, quelle est la prochaine action à faire, à quelle date cette action doit être faite et quand est-ce que vous allez relancer. C’est aussi bête que ça et puis toutes les semaines vous allez voir
Si vous avez des relances à faire, c’est très simple. Vous allez vite être dépassé si vous avez bien évidemment beaucoup de prospects. Si c’est le cas, utilisez un logiciel CRM qui va vous permettre d’organiser tout ça de façon beaucoup plus propre. Mais enfin, l’idée ici, c’est de faire un suivi. Si vous ne faites pas de suivi, vous laissez énormément d’argent de côté alors que vous avez déjà fait tout l’effort marketing et communication.
Donc je vous redonne les trois erreurs. Première erreur, ne pas comprendre réellement son client cible. Deuxième erreur, proposer du contenu qui n’est pas le bon contenu et oublier de parler de vos offres. Et troisième erreur, négligez le suivi et la personnalisation. Et troisième erreur, négligez le suivi et les relances.
Et les clés pour éviter de faire ces erreurs, ben un, c’est d’aller prioriser l’écoute de vos clients. Il faut que vous compreniez vos clients. La meilleure façon de faire, c’est de leur parler. C’est de prendre rendez-vous régulièrement. Vous vous le mettez dans votre agenda régulièrement. À vous de voir si c’est toutes les semaines, tous les mois, tous les trimestres, je m’en fiche. Mais régulièrement, rencontrez vos clients, rencontrez vos prospects. Ça peut être en visio, ça peut être par téléphone, peu importe. Mais discutez avec ces personnes et écoutez.
ces personnes. Relancez-les pour comprendre quels sont les points d’accroche, qu’est-ce qu’elles comprennent, qu’est-ce qu’elles ne comprennent pas, qu’est-ce qu’elles savent, qu’est-ce qu’elles ne savent pas. Il n’y a que vos prospects qui pourront vous le dire.
Deuxième élément, travailler une véritable stratégie de contenu. Ne vous dites pas que poster sur les réseaux sociaux suffit, ça suffisait peut-être avant, ça n’est plus le cas. Maintenant, il faut avoir une véritable stratégie de contenu et travailler cette stratégie de contenu pour faire avancer votre client sur le cheminement d’achat.
Et enfin troisième élément, optimiser votre suivi, travailler un suivi manuel, un suivi automatique, travailler une stratégie de nurturing, c’est-à-dire d’apporter des éléments en plus à votre audience, mais en tout cas renforcer ce lien que vous avez avec votre client pour l’aider à prendre cette décision d’achat, ne le laisser pas partir, ça n’est pas parce qu’un client n’a pas acheté qu’il ne veut pas acheter.
J’espère que cet épisode vous a plu et que vous êtes en train de vous poser la question de la quantité de prospects que vous avez laissés sur le côté. On est toutes et tous pareils, bien évidemment que ça n’est pas parfait et qu’on laisse partir des gens. Mais la bonne nouvelle, c’est qu’il a plein de choses à faire pour récupérer ces personnes-là et en tout cas les faire avancer, les leur donner un maximum de chances.
un maximum d’éléments pour qu’elles puissent prendre leurs décisions. Encore une fois, on n’est pas en train de dire qu’on va faire un marketing poussif, désagréable, agressif, où on va forcer les gens à acheter presque, leur mettre un chronomètre sous le nez en leur disant si tu n’achètes pas sous cinq secondes, ce produit s’auto détruira. Évidemment non. Si vous suivez ce podcast, vous savez que ce n’est pas du tout ma façon de fonctionner. En revanche, ça n’est pas parce qu’un… En revanche, ça n’est
En revanche, vos prospects ont besoin de vous pour prendre la bonne décision, donner leur toutes les informations, tous les éléments pour leur permettre de prendre une décision sereine et apaisée.
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