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Le marketing paresseux : la méthode pour vendre plus en travaillant moins – Episode 296

ou écouter sur :

Vous avez l’impression que votre marketing est une course sans fin ?

Entre les réseaux sociaux, la newsletter, le SEO, les publicités, les podcasts et toutes les nouvelles tendances… vous êtes partout, mais vos résultats ne suivent pas toujours.

Et si la clé n’était pas d’en faire plus, mais d’en faire moins?

 

Dans cet épisode, je vous propose de découvrir le concept du marketing paresseux, ou Minimum Viable Marketing (MVM). Loin d’être une approche passive, c’est une stratégie intelligente qui consiste à concentrer vos efforts sur ce qui marche vraiment, à automatiser ce qui peut l’être, et à ignorer le reste.

 

Au programme :

  • Pourquoi le « marketing paresseux » n’a rien d’une excuse pour ne rien faire.

  • Comment appliquer le principe du Minimum Viable Marketing à votre business.

  • La méthode simple pour choisir vos canaux sans vous disperser.

  • Les outils qui permettent d’automatiser vos actions tout en gardant une touche humaine.

  • Les 3 indicateurs clés à suivre pour mesurer l’essentiel (et oublier les vanity metrics).

Un épisode concret, pratique et libérateur, qui vous aidera à vendre plus tout en réduisant la charge mentale liée au marketing.

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Transcription de l’épisode

 

Vous avez sûrement déjà entendu qu’en marketing, il faut être partout. Publier chaque jour sur LinkedIn, lancer un compte TikTok, optimiser son SEO, investir dans la publicité, produire un podcast, une newsletter… Et pourtant, malgré toute cette énergie déployée, les résultats ne sont pas toujours au rendez-vous. Résultat : beaucoup d’entrepreneurs et de marketeurs se sentent épuisés, voire découragés.

C’est là qu’entre en jeu une approche différente, presque à contre-courant : celle du marketing paresseux. Attention, ne vous y trompez pas : « paresseux » ne veut pas dire passif ou négligent. C’est au contraire une stratégie réfléchie, qui consiste à identifier le minimum d’actions nécessaires pour obtenir un maximum de résultats. Une manière de simplifier, de systématiser et d’automatiser son marketing, afin de le rendre à la fois plus durable et plus efficace.

Ce concept, qu’on peut rapprocher de celui du minimum viable product dans le monde des startups, donne naissance à ce qu’on appelle le minimum viable marketing : un marketing concentré sur l’essentiel, qui ne gaspille ni temps ni ressources, et qui vous permet de vendre plus en en faisant moins.

Dans cet épisode, je vais vous montrer comment mettre en place votre propre système de marketing paresseux. Nous allons d’abord comprendre pourquoi cette approche est loin d’être une solution de facilité, puis voir comment construire un système durable et automatisé, et enfin, comment garder un œil sur ce qui compte vraiment pour obtenir des résultats sans surcharge.

Préparez-vous, vous allez découvrir que faire moins peut être la meilleure façon de vendre plus.

 

 

Partie 1 : Comprendre le « marketing paresseux »

Quand on entend le terme « marketing paresseux », on imagine spontanément un entrepreneur qui ne fait pas grand-chose, qui attend que les clients arrivent tout seuls, ou encore une marque qui néglige ses efforts de communication. Pourtant, c’est tout l’inverse. Le marketing paresseux n’est pas une excuse pour ne rien faire, c’est une stratégie volontaire de simplification et d’efficacité. Il repose sur une idée forte : mieux vaut concentrer ses ressources sur un petit nombre d’actions à forte valeur que de s’éparpiller sur une multitude d’initiatives qui donnent peu de résultats.

1. Démystifier le terme : paresseux ne veut pas dire passif

La première chose à comprendre, c’est que « paresseux » ne doit pas être pris au sens littéral. Ici, il ne s’agit pas de se croiser les bras, mais plutôt d’adopter une posture stratégique : travailler moins, mais mieux.

Prenons un exemple concret. Un entrepreneur décide de publier frénétiquement sur six plateformes sociales à la fois : LinkedIn, Instagram, Twitter, TikTok, YouTube et Facebook. Chaque jour, il passe plusieurs heures à produire du contenu. Résultat : il est épuisé, et son message est dilué. En face, une autre entrepreneuse a choisi de concentrer ses efforts uniquement sur LinkedIn. Elle publie deux fois par semaine, mais ses posts sont soignés, cohérents avec sa cible et intégrés dans une stratégie plus large. À la fin du mois, c’est elle qui obtient le plus de prospects qualifiés.

Pourquoi ? Parce qu’elle applique, consciemment ou non, le principe de Pareto. Vous connaissez sans doute cette règle des 80/20 : 20 % de vos efforts produisent 80 % de vos résultats. En marketing, ce principe est redoutable. Cela signifie que vous pouvez éliminer sans crainte une grande partie de vos actions superficielles pour vous concentrer sur ce qui produit réellement de la valeur.

Le marketing paresseux, ce n’est donc pas une absence d’efforts, mais une gestion intelligente de vos ressources.

 

2. Le principe du Minimum Viable Marketing (MVM)

Pour comprendre le cœur de cette approche, il faut se tourner vers le monde des startups. Celles-ci ont popularisé le concept de Minimum Viable Product (MVP), c’est-à-dire le produit minimal qui permet de tester une idée sur le marché avec le moins d’efforts et de coûts possible. Plutôt que de développer une offre complète pendant des mois, elles lancent une version simplifiée, apprennent de leurs premiers utilisateurs et ajustent ensuite.

Le Minimum Viable Marketing applique exactement la même logique. Il ne s’agit pas de mettre en place toutes les tactiques marketing possibles, mais de lancer le système le plus simple qui permet de générer des résultats tangibles. Une fois ce socle validé, on peut le renforcer, l’améliorer ou l’automatiser.

Prenons un exemple concret. Une petite entreprise de conseil pourrait être tentée de lancer un blog, un podcast, une chaîne YouTube, une stratégie SEO, des publicités Google Ads et une présence active sur LinkedIn. C’est séduisant sur le papier, mais intenable dans la réalité. Avec le MVM, elle va peut-être choisir une seule action : publier une newsletter mensuelle de grande valeur pour ses prospects. Cette newsletter devient le cœur de son système marketing. Rapidement, elle construit une liste d’abonnés engagés, et cette base devient une source régulière de clients.

Une newsletter bien ciblée, envoyée à 1 000 abonnés qualifiés, peut générer davantage de ventes qu’une présence dispersée sur tous les réseaux sociaux. C’est le pouvoir du focus.

 

3. Outils et méthodes pour simplifier

Mettre en place un système de Minimum Viable Marketing ne veut pas dire improviser. Il existe des méthodes et des outils pour clarifier ses priorités et se concentrer sur l’essentiel.

Un outil simple et efficace est d’utiliser Notion ou Trello pour construire une roadmap marketing minimale. L’idée est de se limiter à trois actions clés prioritaires. Par exemple :

  1. Publier un post LinkedIn par semaine.
  2. Envoyer une newsletter mensuelle.
  3. Mettre en place une séquence d’email pour accueillir les nouveaux abonnés.

Tout le reste est mis de côté. Cette discipline permet d’éviter la dispersion et de consacrer son énergie là où elle a le plus d’impact.

 

4. Les bénéfices immédiats du marketing paresseux

Quand vous adoptez cette approche, vous gagnez immédiatement en clarté et en sérénité. Vous n’avez plus l’impression de courir dans tous les sens pour essayer de suivre les tendances. Vous construisez un système qui vous ressemble, adapté à vos ressources et à votre marché.

Ensuite, vous gagnez en efficacité. Chaque action est pensée pour produire un maximum de résultats. Vous savez que vos efforts ne sont pas gaspillés.

Enfin, vous gagnez en durabilité. Un marketing paresseux est un marketing que vous pouvez tenir dans le temps. Il ne repose pas sur une énergie démesurée, mais sur un système simple, cohérent et automatisable.

 

En résumé, comprendre le marketing paresseux, c’est comprendre que moins peut être beaucoup plus. Il ne s’agit pas d’en faire le moins possible, mais d’en faire moins de choses, mieux exécutées, avec un focus assumé. C’est la première étape pour construire un système de Minimum Viable Marketing qui vous permettra de vendre davantage tout en réduisant votre charge mentale.

 

 

Partie 2 : Construire un système marketing durable et automatisé

Une fois qu’on a compris la logique du marketing paresseux et du Minimum Viable Marketing (MVM), il est temps de passer à l’action. L’objectif est simple : mettre en place un système qui fonctionne dans la durée, qui demande moins d’efforts au quotidien et qui continue de générer des résultats sans que vous soyez constamment derrière la machine. Pour cela, deux piliers sont essentiels : choisir ses canaux avec discernement et automatiser intelligemment sans perdre le lien humain.

 

3. Choisir ses canaux avec discernement

L’une des erreurs les plus fréquentes en marketing, c’est de croire qu’il faut être présent partout. On se dit : « Si je ne suis pas sur TikTok, je passe à côté des jeunes », ou encore : « Si je ne fais pas de SEO, je perds en visibilité ». Résultat : vous vous éparpillez, vous investissez du temps dans dix canaux différents, mais aucun n’est suffisamment alimenté pour produire des résultats solides.

La clé, c’est de sélectionner les 1 ou 2 canaux les plus rentables et d’y mettre toute votre énergie.

Pour cela, une méthode simple est la matrice Effort / Impact. Prenez une feuille ou un tableau numérique, tracez deux axes : l’effort nécessaire (faible à élevé) et l’impact potentiel (faible à fort). Listez tous vos canaux actuels : LinkedIn, Instagram, SEO, newsletters, publicités payantes, partenariats, etc. Placez chaque canal dans la matrice. Rapidement, vous verrez qu’il y a sans doute 1 ou 2 canaux qui demandent peu d’efforts mais offrent un impact important. Ce sont ceux-là que vous devez privilégier.

Exemple concret : une entreprise B2B dans le conseil en innovation. Après analyse, elle réalise que 80 % de ses prospects viennent de LinkedIn et de son SEO sur quelques articles de blog stratégiques. Résultat, elle décide d’arrêter Twitter, TikTok et Facebook, qui lui prenaient du temps sans apporter de clients. Ce choix radical lui permet de mieux performer sur LinkedIn et de renforcer son référencement naturel.

La sélection des canaux, c’est un acte de courage. Il faut accepter de dire non à certaines opportunités pour concentrer son énergie là où elle est vraiment utile. C’est exactement l’esprit du marketing paresseux.

 

4. Automatiser sans déshumaniser

Le deuxième pilier du système durable, c’est l’automatisation. L’idée n’est pas de tout robotiser au point de perdre le contact avec vos clients, mais de mettre en place des processus qui tournent en arrière-plan et vous libèrent du temps.

Les outils d’email automation comme ActiveCampaign, HubSpot, ou encore Sendinblue (aujourd’hui Brevo) sont de parfaits alliés pour cela. Ils permettent de construire des scénarios intelligents qui s’adaptent au comportement de vos prospects.

Prenons un exemple concret dans le e-commerce. Imaginons une boutique de cosmétiques naturels. Grâce à l’automatisation, elle peut créer plusieurs scénarios :

  • Un email de rappel lorsqu’un client abandonne son panier.
  • Une séquence de bienvenue avec trois emails envoyés automatiquement aux nouveaux abonnés, pour leur présenter la marque et leurs produits phares.
  • Une relance personnalisée si un client n’a pas commandé depuis plus de 90 jours, avec une offre spéciale pour le réactiver.

Ces scénarios fonctionnent en continu, 24 heures sur 24, sans que l’équipe ait besoin d’intervenir. Résultat : plus de ventes, moins de charge mentale.

Mais attention : automatiser ne doit pas rimer avec déshumaniser. Un email automatique n’a pas besoin d’être froid ou impersonnel. Au contraire, il peut être rédigé dans un ton chaleureux, utiliser le prénom du client, et même contenir des anecdotes ou des conseils pratiques. L’automatisation doit amplifier votre proximité, pas la réduire.

L’automatisation ne se limite pas aux emails. Elle peut aussi concerner la gestion des réseaux sociaux (avec des outils comme Buffer ou Hootsuite), la prise de rendez-vous (via Calendly), ou encore le suivi des prospects (grâce à des CRM intelligents comme Pipedrive). L’objectif reste le même : réduire les tâches répétitives pour consacrer votre énergie là où elle est vraiment utile, c’est-à-dire à la création de valeur et à la relation humaine.

 

Construire un système durable

Quand vous combinez ces deux approches — le choix sélectif des canaux et l’automatisation intelligente — vous commencez à bâtir un système qui devient durable. Cela veut dire qu’il peut fonctionner même si vous réduisez vos efforts ponctuellement.

Imaginez : vous décidez de ne pas publier pendant deux semaines sur LinkedIn parce que vous êtes en déplacement. Si votre newsletter est programmée et que vos scénarios d’email automation tournent, votre marketing continue de générer des résultats. Vous ne dépendez plus de votre présence permanente pour exister aux yeux de vos clients.

C’est une transformation profonde. Vous passez d’un marketing basé sur la réactivité et l’énergie brute à un marketing basé sur la stratégie et la structure. C’est exactement ce qui distingue le marketing paresseux du marketing épuisant.

 

En résumé, construire un système marketing durable et automatisé, c’est accepter de faire des choix. Choisir ses canaux avec discernement pour arrêter de courir partout, puis mettre en place des outils d’automatisation qui prennent en charge les tâches répétitives sans sacrifier la personnalisation. Une fois ce socle en place, vous gagnez en sérénité, en efficacité et surtout en cohérence.

C’est ce système qui vous permet, au quotidien, de vendre plus en en faisant moins.

 

 

Partie 3 : Rendre son marketing efficace sans surcharge

Vous avez maintenant compris que le marketing paresseux repose sur deux piliers : le choix sélectif des canaux et l’automatisation intelligente. Mais il reste un point crucial pour éviter de retomber dans l’épuisement : savoir mesurer ce qui compte vraiment. Trop d’entreprises tombent dans le piège des indicateurs de vanité. Elles se concentrent sur le nombre de likes, de vues ou d’abonnés, sans se demander si ces chiffres se traduisent réellement en opportunités de vente. Pour qu’un système marketing soit durable et efficace, il faut être capable de distinguer l’essentiel de l’accessoire, et donc de suivre uniquement les indicateurs qui orientent les décisions stratégiques.

 

5. Mesurer l’essentiel et ignorer le reste

La première étape consiste à définir clairement quels sont vos objectifs marketing prioritaires. Sans cela, impossible de savoir quels indicateurs surveiller. Si votre objectif est de générer des leads qualifiés, ce ne sont pas vos likes sur LinkedIn qui comptent, mais le nombre de personnes qui téléchargent votre livre blanc, s’inscrivent à votre newsletter ou réservent un appel découverte.

Un principe fondamental du marketing paresseux est donc de limiter vos suivis à trois indicateurs clés maximum. Voici un exemple fréquent pour une PME ou une startup :

  1. Le nombre de leads qualifiés générés par mois.
  2. Le coût d’acquisition client (CAC).
  3. Le taux de conversion entre prospects et clients.

Ces trois indicateurs suffisent pour piloter efficacement votre marketing. Tout le reste peut être considéré comme secondaire.

 

Vanity metrics vs. metrics essentielles

Pourquoi est-ce si important ? Parce que les vanity metrics (indicateurs de vanité) peuvent donner l’illusion du succès sans aucun impact réel sur vos ventes. Avoir 10 000 abonnés sur Instagram n’a aucune valeur si aucun d’eux n’achète vos produits.

Prenons un exemple concret. Une startup SaaS suit religieusement le nombre de likes sur ses publications Twitter. Les chiffres montent, l’équipe est ravie. Mais quand elle analyse ses ventes, elle se rend compte que Twitter ne génère pratiquement aucun prospect qualifié. En revanche, ses webinaires mensuels, qui rassemblent 200 personnes seulement, produisent systématiquement 15 rendez-vous commerciaux et 5 nouveaux clients. Résultat : la startup décide d’arrêter de consacrer du temps à Twitter pour investir davantage dans ses webinaires.

Cet exemple illustre parfaitement l’idée du marketing paresseux : concentrer ses efforts là où ils ont un vrai impact.

 

Méthode pour choisir ses KPI

Comment décider quels KPI suivre ? Une méthode simple est de se poser trois questions à propos de chaque indicateur :

  • Est-ce que je peux agir directement dessus ? (par exemple, vous pouvez agir sur le nombre d’emails envoyés, mais pas sur le nombre de likes que vous recevez).
  • Est-ce que cet indicateur est lié à mes ventes ? (un KPI utile doit avoir une corrélation claire avec la génération de revenus).
  • Est-ce qu’il m’aide à prendre une décision concrète ? (si un chiffre ne change pas votre manière d’agir, il n’est pas essentiel).

En appliquant ce filtre, vous éliminez naturellement beaucoup d’indicateurs secondaires.

 

Les outils pour simplifier le suivi

Heureusement, il existe aujourd’hui des outils simples pour centraliser vos indicateurs. Des plateformes comme Google Analytics, HubSpot ou encore des tableaux de bord personnalisés sur Notion ou Airtable vous permettent de visualiser en un coup d’œil vos données essentielles.

Mais attention : l’outil ne doit pas devenir une nouvelle source de complexité. L’objectif reste la simplicité. Plutôt qu’un tableau de 40 indicateurs, contentez-vous d’un tableau de bord avec trois à cinq chiffres que vous consultez chaque semaine ou chaque mois.

 

La puissance du feedback qualitatif

Il ne faut pas oublier que tous les résultats ne se mesurent pas uniquement en chiffres. Le marketing paresseux accorde aussi une place importante au feedback qualitatif. Un email d’un client qui vous dit « Votre newsletter m’a convaincu d’essayer votre service » vaut mille fois plus que dix likes anonymes.

Demander régulièrement à vos clients pourquoi ils ont choisi de travailler avec vous, quels contenus les ont convaincus, ou quelles étapes les ont aidés dans leur décision d’achat, vous donne une information précieuse que les KPI chiffrés ne révèlent pas.

 

Construire un marketing sans surcharge

En limitant vos indicateurs et en donnant la priorité à l’essentiel, vous créez un système marketing qui ne vous surcharge pas. Vous ne perdez plus des heures à analyser des tableaux interminables. Vous ne vous laissez plus distraire par des chiffres flatteurs mais inutiles. Vous concentrez votre attention sur ce qui fait réellement avancer votre entreprise.

Ce choix est profondément libérateur. Il vous permet de sortir de l’illusion de la productivité (faire toujours plus, suivre toujours plus de données) pour entrer dans la logique de la performance réelle. Et c’est cette simplicité qui rend votre marketing durable : moins de temps perdu, moins de stress, et plus de résultats.

 

En résumé, rendre son marketing efficace sans surcharge, c’est apprendre à ignorer l’inutile pour se concentrer sur l’essentiel. C’est mesurer moins, mais mieux. C’est accepter que certains indicateurs flattent l’ego mais ne remplissent pas le carnet de commandes. En adoptant cette approche, vous transformez votre marketing en un système allégé, efficace et orienté résultats.

C’est cette discipline qui fait du marketing paresseux non pas un marketing faible, mais un marketing intelligent.

 

 

Conclusion

Tout au long de cet épisode, nous avons exploré le concept du marketing paresseux. Nous avons vu qu’il ne s’agit pas d’une approche passive ou désengagée, mais au contraire d’une stratégie réfléchie et intentionnelle, qui consiste à en faire moins pour obtenir davantage de résultats.

Dans la première partie, nous avons démystifié le terme et découvert le principe du Minimum Viable Marketing. L’idée forte : concentrer son énergie sur quelques actions essentielles qui produisent vraiment des résultats, plutôt que de se disperser dans une multitude de tactiques chronophages.

Dans la deuxième partie, nous avons vu comment construire un système durable et automatisé. Le secret est double : choisir ses canaux avec discernement pour ne pas s’éparpiller, et mettre en place des outils d’automatisation qui travaillent pour vous, tout en conservant un lien humain et personnalisé avec vos clients.

Enfin, dans la troisième partie, nous avons insisté sur l’importance de mesurer l’essentiel. En vous concentrant sur trois indicateurs clés seulement, et en valorisant aussi le feedback qualitatif, vous créez un système de suivi léger, clair et orienté résultats.

Le message à retenir est simple : le marketing paresseux, c’est du marketing intelligent. C’est accepter de ne pas courir après toutes les tendances, mais de bâtir un système qui correspond à vos ressources, qui respecte votre énergie et qui reste efficace dans la durée.

Alors, je vous invite à passer à l’action dès aujourd’hui. Prenez un moment pour identifier :

  • Une action marketing que vous pouvez simplifier ou même supprimer.
  • Un canal que vous pourriez privilégier parce qu’il vous rapporte déjà l’essentiel de vos résultats.
  • Un outil ou une automatisation que vous pourriez mettre en place pour vous libérer du temps.

Vous verrez que même une petite décision peut transformer profondément votre manière de faire du marketing.

 

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Le vrai pouvoir du personal branding: vendre un produit – Episode 294

ou écouter sur :

On associe souvent le personal branding aux freelances ou aux créateurs de contenu. Pourtant, lorsqu’il est bien utilisé, il devient un levier extrêmement puissant pour vendre… y compris un produit ou une offre plus « classique ». Dans cet épisode, je vous explique pourquoi dissocier branding personnel et marketing produit est une erreur stratégique.

Nous verrons comment certaines marques capitalisent sur l’incarnation, en quoi le récit personnel peut déclencher une préférence d’achat, et comment vous pouvez utiliser votre propre posture pour renforcer la désirabilité de votre offre — sans tomber dans l’auto-promotion maladroite.

 

🎯 Au programme :

  • Pourquoi séparer branding personnel et produit freine vos ventes

  • Comment le personal branding crée de la confiance et de l’adhésion

  • L’impact du récit personnel dans la décision d’achat

  • Les marques qui maîtrisent l’art de l’incarnation

  • Comment construire un branding personnel au service d’un produit

  • La bonne dose de visibilité pour servir la marque (et pas l’éclipser)

 

📌 Un épisode à écouter si vous :

  • Pensez que vos produits ne se vendent pas aussi bien qu’ils le devraient

  • Hésitez à vous rendre plus visible dans votre communication

  • Voulez comprendre comment créer plus de lien (et de ventes) grâce à votre personnalité

 

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Transcription de l’épisode

Introduction

Pendant longtemps, on a cru qu’il fallait choisir entre faire briller son produit ou se mettre soi-même en avant. Comme si l’un devait effacer l’autre. Dans de nombreuses entreprises, le branding personnel reste perçu comme un exercice d’ego, réservé aux indépendants, aux influenceurs ou aux créateurs de contenu.

Mais aujourd’hui, cette vision est dépassée.

Le marketing évolue, et avec lui, les attentes des clients. Ils ne veulent plus seulement des produits performants. Ils veulent comprendre qui est derrière, pourquoi cette offre existe, à quelles valeurs elle répond. Ils cherchent des connexions humaines, des signes de confiance, des récits auxquels s’identifier.

Et c’est là que le personal branding prend toute sa puissance.

Dans cet épisode, je vais vous montrer pourquoi il ne s’agit pas d’un effet de mode, mais d’un véritable levier stratégique — même (et surtout) quand on vend un produit. Nous allons voir comment certaines marques utilisent l’incarnation pour accélérer leurs ventes, en quoi le récit personnel peut déclencher une préférence d’achat, et comment vous pouvez construire un branding personnel au service de votre offre… sans tomber dans l’auto-promotion mal placée.

Alors, si vous vous demandez comment vendre plus en devenant plus visible — ou plus vrai — cet épisode est pour vous.

 

 

I. Distinguer personal branding et produit : une fausse séparation ?

Pourquoi séparer les deux est une erreur stratégique

On entend souvent cette phrase : “Le produit doit parler de lui-même.”

C’est une belle idée… mais elle ne fonctionne plus dans la réalité actuelle du marché.

Séparer totalement votre produit de votre personne, c’est priver votre marketing d’un levier de confiance fondamental : l’incarnation. Parce que les gens n’achètent pas seulement des fonctionnalités ou des promesses. Ils achètent une intention, une vision, une connexion humaine.

Et c’est encore plus vrai quand il y a de la concurrence.

Votre offre peut être très bien pensée, très utile, très pertinente. Mais si une autre proposition — équivalente — est portée par une personne que l’on connaît, que l’on apprécie, que l’on suit déjà… c’est elle qui gagnera.

On sous-estime à quel point l’acheteur cherche de la clarté émotionnelle :

Est-ce que je comprends ce produit ?

Est-ce que je fais confiance à la personne qui me le recommande ?

Est-ce que je partage ses valeurs ?

Quand vous restez invisible, vous laissez ces questions sans réponse.

Et dans ce cas, l’inconnu n’est pas neutre… il devient suspect.

Alors que si vous êtes là, si vous incarnez votre vision, vous devenez une boussole. Votre simple présence devient un facteur de réassurance.

Séparer les deux — branding personnel et produit — revient à couper la relation en deux. Et dans un marketing relationnel… c’est une erreur stratégique.

 

Les marques qui utilisent la personnalisation avec brio

Certaines marques l’ont parfaitement compris : l’humain vend mieux que le produit.

Certaines marques l’ont compris très tôt : ce n’est pas le produit qui crée l’adhésion, c’est la personne qui le porte.

Prenez Respire, par exemple.

Derrière la marque, il y a Justine Hutteau. Ce n’est pas qu’un déodorant naturel qu’elle vend. C’est une histoire, une prise de conscience, une volonté de faire mieux pour soi et pour la planète. Elle incarne totalement sa mission. Et c’est cette incarnation qui a créé un lien fort, presque affectif, avec sa communauté.

Un autre exemple intéressant, c’est MyBetterSelf, alias Louise Aubery.

Elle a développé sa marque de vêtements éthiques et inclusifs en s’appuyant sur un personal branding très fort, construit autour de ses combats personnels : l’acceptation de soi, le féminisme, le rapport au corps. Chaque collection est un prolongement de sa vision. Et ses produits ne sont jamais “juste des produits”. Ils sont un message.

Ce que ces marques ont en commun, ce n’est pas un budget pub démesuré.

C’est la cohérence entre la personne, son discours, et l’offre.

Cette cohérence-là, elle est précieuse. Elle donne du relief à la marque, elle la rend plus humaine, plus proche, plus crédible. Et c’est précisément ce que cherche une audience aujourd’hui : un produit incarné par une vraie personne — pas une promesse désincarnée.

 

L’illusion de l’objectivité du produit

On a souvent l’impression qu’un bon produit “parlera de lui-même”.

Qu’il suffit qu’il soit bien conçu, utile, efficace… et les ventes suivront.

Mais c’est une illusion.

Les gens n’achètent pas un produit uniquement pour ses caractéristiques. Ils l’achètent pour ce qu’il représente, pour ce qu’il leur promet, et surtout pour la confiance qu’ils placent dans la personne qui le propose.

Même en B2B, on n’achète pas de manière totalement rationnelle.

Un logiciel de gestion, une solution RH ou une formation marketing peut avoir les meilleures fonctionnalités du monde… si la personne qui l’incarne ne semble pas crédible, engagée ou alignée, la conversion sera bien plus difficile.

L’objectivité du produit est un mythe.

Ce qui fait vendre, ce sont des biais humains : la familiarité, la sympathie, la réassurance, la cohérence perçue. Et tout cela passe par le branding personnel.

Quand vous ne montrez pas qui vous êtes, quand vous laissez uniquement votre fiche produit parler pour vous, vous laissez votre audience dans une incertitude.

Et face à l’incertitude… elle passe son chemin.

Ce n’est pas un manque de professionnalisme que d’être visible.

C’est un acte stratégique.

Parce qu’aujourd’hui, l’humain est votre plus grand différenciateur.

 

II. Comment le branding personnel crée de la préférence d’achat

La confiance transmise par une personne

Dans un monde où tout le monde peut vendre n’importe quoi à n’importe qui, la question que se pose chaque acheteur est simple : “Est-ce que je peux faire confiance ?”

Et cette confiance ne se construit pas dans les pages de vente.

Elle naît bien avant, à travers votre présence, votre discours, votre façon d’être visible.

Elle se crée par la personne que vous montrez.

Un branding personnel bien pensé agit comme un raccourci de crédibilité.

Vous devenez un repère. Un point d’ancrage.

Quand on vous voit partager vos idées, parler de vos valeurs, défendre vos choix… on commence à vous connaître. Et ce processus-là, c’est la base de la confiance.

Il ne s’agit pas de se “vendre”. Il s’agit de se montrer constant, cohérent, humain.

Prenons un exemple concret : si vous lancez une formation ou un produit digital et que votre audience vous suit depuis des mois, qu’elle a vu vos contenus, écouté vos podcasts, lu vos prises de position… le jour où vous proposez quelque chose, la question ne sera pas “Est-ce que ce produit est bon ?”, mais plutôt “Quand est-ce que je peux m’inscrire ?”

C’est ça, le pouvoir du personal branding.

Il ne remplace pas la qualité de l’offre. Il la précède. Il prépare le terrain.

 

Le rôle du récit personnel dans l’acte d’achat

Le storytelling, ce n’est pas juste un outil marketing.

C’est une manière de donner du sens à votre offre.

Quand vous partagez pourquoi vous avez créé un produit, ce que vous avez vécu, ce que vous voulez changer ou transmettre, vous ne donnez pas seulement des informations : vous créez une connexion émotionnelle.

Et cette connexion, elle change tout.

L’histoire personnelle, c’est ce qui transforme une offre banale en solution inspirante.

Prenez deux formations identiques. Même contenu, même prix.

L’une est présentée de manière neutre, l’autre est portée par une personne qui explique comment elle a galéré pendant des mois, ce qu’elle a découvert, comment elle a construit pas à pas une méthode qui marche… et pourquoi elle veut la transmettre aujourd’hui.

Laquelle choisissez-vous instinctivement ?

Presque toujours, ce sera la deuxième.

Parce que cette histoire donne du contexte. Elle vous implique. Elle crée une proximité, voire une identification. Vous avez envie de suivre quelqu’un qui est passé par là, qui comprend votre situation, et qui vous tend la main.

Votre récit personnel, c’est ce qui rend votre produit légitime.

Pas au sens technique, mais au sens humain.

Et aujourd’hui, cette légitimité émotionnelle est souvent plus puissante que la preuve sociale.

 

L’effet d’amplification sur le bouche-à-oreille

Quand une offre est portée par une personne claire, visible et cohérente, elle circule mieux.

C’est logique : on parle plus facilement d’une personne que d’un produit.

Un produit, ça s’explique.

Mais une personne, ça se raconte.

Le branding personnel crée un effet d’amplification naturel sur le bouche-à-oreille.

Vous devenez une référence, une personnalité qu’on cite, qu’on partage, qu’on recommande.

On ne dit pas : “J’ai trouvé un bon outil.”

On dit : “Tu devrais écouter ce que propose [prénom], c’est hyper pertinent.”

C’est subtil, mais puissant.

Parce que votre audience ne transmet pas seulement un lien ou une offre : elle transmet un point de vue, une valeur, une connexion émotionnelle. Et c’est exactement ce qui rend une recommandation beaucoup plus efficace et mémorable.

Ce phénomène est d’autant plus fort sur les réseaux sociaux.

Les contenus les plus partagés sont rarement ceux des marques institutionnelles. Ce sont ceux des personnes avec une vraie posture, une vraie voix, une vraie vision.

En cultivant votre branding personnel, vous augmentez votre capacité à créer du bouche-à-oreille organique. Et ça, c’est un levier de visibilité et de conversion qui vaut tous les budgets publicitaires du monde.

 

III. Construire un branding personnel au service d’un produit

Choisir un persona d’incarnation

Lorsqu’on parle de branding personnel, beaucoup pensent : “Je ne veux pas me mettre en avant”, ou “Je ne suis pas à l’aise pour m’exposer.”

Mais incarner une marque ne veut pas forcément dire devenir le visage de celle-ci.

👉 Cela veut dire choisir un persona d’incarnation.

Et ce persona, ce n’est pas toujours vous.

Vous pouvez incarner votre produit vous-même — si vous êtes à l’aise, si vous avez une histoire forte, ou si cela vous paraît naturel. Mais vous pouvez aussi déléguer cette incarnation à quelqu’un d’autre : un membre de l’équipe, un ambassadeur, un client, voire un personnage fictif.

L’important, ce n’est pas qui parle, c’est ce qu’il incarne.

Ce persona doit représenter les valeurs de votre offre, son positionnement, sa mission. Il doit être cohérent avec votre produit.

Si vous vendez un outil ultra-tech, vous ne choisirez pas la même posture qu’une marque axée sur le bien-être holistique.

Mais dans les deux cas, il y a une incarnation possible.

Ce qui compte, c’est de personnaliser la relation. De donner à votre audience un point de contact humain, clair, identifiable.

On n’achète pas une promesse désincarnée.

On achète une voix, une vision, une énergie.

Et tout commence par ce choix stratégique : qui parle pour la marque ?

 

Alignement entre valeurs personnelles et bénéfices produit

Le personal branding fonctionne seulement s’il est aligné avec ce que vous proposez.

Ce que vous dites, ce que vous incarnez, ce que vous vendez… tout doit raconter la même histoire.

Imaginez : vous communiquez sur la liberté, l’indépendance, le fait de casser les codes…

Et vous proposez une offre ultra rigide, ultra normée, avec zéro flexibilité.

Il y a un décalage. Et ce décalage, même subtil, crée un doute.

Les clients le sentent.

Ils ne savent pas toujours l’exprimer, mais ils perçoivent une dissonance.

Et cette dissonance casse la confiance.

À l’inverse, quand vos valeurs personnelles résonnent avec les bénéfices concrets de votre produit, l’effet est immédiat : c’est fluide, crédible, évident.

Si vous parlez d’audace et que votre programme pousse justement à oser davantage, ça fonctionne.

Si vous êtes centré sur l’écoute et que votre service est ultra-personnalisé, ça se renforce mutuellement.

Ce miroir entre vous et votre offre, c’est ce qui donne au branding personnel sa puissance.

Il ne s’agit pas de “mettre en avant sa personnalité” juste pour exister.

Il s’agit d’incarner une promesse cohérente, à travers un discours, une posture, un produit.

Et cette cohérence perçue est un facteur d’adhésion très fort.

Dans un marché encombré, elle fait toute la différence.

 

Créer des ponts éditoriaux entre soi et son offre

L’une des erreurs les plus fréquentes dans le personal branding, c’est de parler de soi d’un côté… et du produit de l’autre.

Deux mondes parallèles qui ne se croisent jamais.

Et pourtant, toute la force du branding personnel vient de ces ponts que vous construisez entre vous et votre offre.

Votre audience n’a pas besoin de savoir toute votre vie.

Mais elle a besoin de comprendre pourquoi ce que vous proposez a du sens pour vous.

Vous avez vécu un déclic qui vous a poussé à créer ce produit ? Parlez-en.

Vous avez observé un besoin récurrent chez vos clients qui a motivé votre offre ? Expliquez-le.

Vous défendez une vision du monde, du travail, de la santé, de la réussite… et votre produit incarne cette vision ? Montrez le lien.

Ces passerelles éditoriales, ce sont des occasions de donner du contexte, de raconter une histoire, de créer du lien.

Elles permettent à votre audience de comprendre que votre offre n’est pas juste un business.

C’est une réponse sincère à un besoin identifié, vécu, parfois personnel.

Et quand vous réussissez à faire ce lien de manière fluide, votre communication devient plus naturelle, plus engageante, plus persuasive.

Vous ne forcez plus la vente.

Vous donnez envie d’acheter.

 

La bonne dose de visibilité personnelle pour ne pas cannibaliser la marque

C’est une inquiétude légitime, surtout chez les profils discrets ou les marques déjà bien établies :

👉 “Si je me rends trop visible, est-ce que je ne vais pas faire de l’ombre à mon produit ?”

Et c’est vrai : trop de personal branding peut devenir contre-productif… si la visibilité devient le but en soi.

Le branding personnel ne doit jamais éclipser l’offre.

Il doit la servir.

C’est une question d’intention.

Si vous communiquez uniquement sur vous, votre parcours, votre quotidien, vos opinions — sans jamais créer de lien clair avec ce que vous proposez — vous perdez votre audience en route.

Elle s’attache à la personne, mais oublie l’offre.

À l’inverse, si votre visibilité est pensée comme un levier de pédagogie, de valeur, de confiance, alors elle devient un amplificateur.

Votre posture attire, vos prises de parole engagent, et tout ramène naturellement à votre produit.

La clé, c’est l’équilibre.

Demandez-vous régulièrement :

→ Est-ce que ce que je partage nourrit la perception de mon expertise ?

→ Est-ce que cela rend mon produit plus désirable, plus crédible ?

→ Est-ce que je reste au service de la mission que porte mon offre ?

La visibilité personnelle est une force… à condition qu’elle reste au service de la marque.

 

Conclusion

Pendant longtemps, on a opposé deux mondes :

D’un côté, le branding personnel — trop subjectif, trop risqué, trop tourné vers soi.

De l’autre, le produit — objectif, concret, professionnel.

Mais cette séparation n’a plus lieu d’être.

Aujourd’hui, dans un monde saturé d’offres, ce qui fait vendre, c’est la relation.

Et cette relation ne se construit pas uniquement avec une page de vente bien rédigée.

Elle se construit avec une voix, une vision, un lien humain.

Le branding personnel n’est pas une mise en scène.

C’est un outil stratégique, qui vous permet de :

✔ créer de la confiance,

✔ transmettre du sens,

✔ donner envie de vous suivre… donc d’acheter ce que vous proposez.

Mais attention, il ne s’agit pas de tout miser sur votre personnalité.

Il s’agit de l’aligner avec votre offre, de créer des ponts éditoriaux, et de trouver la juste dose de visibilité.

Votre présence ne doit pas éclipser votre produit, elle doit le renforcer.

En incarnant votre offre, vous rendez votre marketing plus vivant, plus crédible, plus engageant.

Et si vous doutez encore… posez-vous cette question simple :

Est-ce que ce que je vends pourrait être encore plus fort si je le racontais avec mes mots, mon histoire, mon intention ?

Souvent, la réponse est oui.

 

Merci d’avoir écouté cet épisode.

Si vous pensez qu’il peut aider quelqu’un dans votre entourage — une entrepreneure, un porteur de projet, une marque trop discrète — n’hésitez pas à le partager.

Et si ce sujet vous a parlé, je vous invite à me laisser un commentaire, une note, ou tout simplement un message.

On se retrouve très vite pour un prochain épisode du Podcast du Marketing.

 

Quand les datas mentent – Episode 290

pourquoi vos chiffres ne disent pas la vérité

Le marketing de l’ennui – Episode 289

Pourquoi les marques qui rassurent gagnent souvent

Pourquoi il faut arrêter d’utiliser ChatGPT pour créer du contenu avec Jeanviet – Episode 288

ou écouter sur :

J’ai demandé à Jeanviet son avis sur l’IA et la création de contenu. Il sait de quoi il parle, sa chaîne Youtube dédiée à l’IA est suivie par plus de 100.000 personnes!! Et bien son avis m’a surprise: il faut arrêter d’utiliser ChatGPT pour la création de contenu.

Dans cet épisode, Jeanviet nous explique pourquoi ChatGPT n’est pas la bonne IA pour la création de contenu, et surtout quelles IA utiliser pour quels objectifs marketing.

Vous allez découvrir les outils, les usages concrets, et surtout les bonnes pratiques pour éviter l’uniformisation ET protéger vos données.

Si vous utilisez ChatGPT au quotidien, cet épisode va clairement vous ouvrir de nouvelles perspectives. Et si vous ne l’utilisez pas encore, il va vous donner envie de vous y mettre intelligemment.

Pour en savoir plus sur Jeanviet, vous pouvez suivre sa chaîne Youtube, sur Linkedin, ou sur X. Je vous invite aussi à lire son livre: Cocréateur.

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Transcription de l’épisode

L’intelligence artificielle a changé nos façons de travailler. On en parle tous les jours, on l’utilise presque sans y penser, souvent via ChatGPT. Mais est-ce qu’on ne ferait pas totalement fausse route?

Il y a deux semaines, j’ai publié un épisode intitulé « l’IA va-t-elle tuer le contenu de marque? ». Derrière le mot IA, je pensais ChatGPT. C’est là que Jean-Baptiste m’envoie un email et me dit: Estelle, j’ai écouté ton épisode, je suis ok avec ce que tu dis, sauf que moi je pense qu’il faut absolument arrêter d’utiliser ChatGPT pour sa création de contenu. Pour vous donner un peu de contexte, Jean-Baptiste alias Janviet a l’une des plus grosses chaînes Youtube dédiée à l’IA (100 000 personnes le suivent religieusement), donc quand il me dit de ne pas utiliser ChatGPT ça m’intrigue…

Alors je lui ai proposé de venir tout nous expliquer sur le Podcast du Marketing. Et il ne s’est pas fait prier, il a tout balancer: pourquoi ChatGPT n’est pas la bonne IA pour la création de contenu, et surtout quelles IA utiliser pour quel objectif marketing.

Vous allez découvrir les outils, les usages concrets, et surtout les bonnes pratiques pour éviter l’uniformisation ET protéger vos données.

Si vous utilisez ChatGPT au quotidien, cet épisode va clairement vous ouvrir de nouvelles perspectives. Et si vous ne l’utilisez pas encore, il va vous donner envie de vous y mettre intelligemment.

Ha et comme Jean-Baptiste balance plein d’infos, je vous ai tout compilé dans un document synthétique que j’ai sobrement intitulé : Les IA à connaître absolument pour booster votre marketing. Vous pouvez le télécharger en cliquant sur le lien qui est dans les notes de cet épisode ou en allant directement sur lepodcastdumarketing.com/cadeau288

Je vous propose d’accueillir tout de suite Jean-Baptiste Viet.

Estelle (00:00.186)
qui a décidé… Attends, je sais pas pourquoi il met l’i-stream. J’ai mon jardinier qui a décidé de tondre là tout de suite maintenant. Donc je vais me marrer pour faire le montage. Je laisse 5 secondes pour prendre le bruit, évidemment. Il ne tombe pas pile au moment où je laisse mes 5 secondes de plan. C’est pas grave.

Estelle (00:20.362)
Bonjour Jean-Baptiste, bienvenue sur le podcast du marketing.

Jeanviet (00:24.098)
Bonjour STL, merci de me recevoir !

Estelle (00:26.202)
Écoute, trop trop contente de t’avoir aujourd’hui sur le podcast du marketing. On va parler du sujet brûlant du moment. Enfin, je dis du moment, ça fait deux ans que c’est le sujet brûlant du moment. On va parler d’IA aujourd’hui. J’en ai parlé récemment dans un épisode il a deux semaines et on discutait déjà toi et moi et tu m’as dit Estelle, il faut qu’on fasse un épisode réponse à ton épisode. Mon épisode, c’était l’épisode 286 où je disais, mais est-ce que l’IA va tuer

le contenu de marque et je parlais notamment de chat GPT et toi tu m’as dit Estelle il faut qu’on fasse un épisode pour expliquer pourquoi il faut arrêter d’utiliser chat GPT pour créer du contenu. me suis dit, là attends qu’est qu’il me raconte Jean-Baptiste il faut qu’on en parle avant que tu m’expliques tout ça qu’on rentre dans le détail. Jean-Baptiste est ce que tu peux me dire qui tu es et ce que tu fais

Jeanviet (01:15.318)
Bien sûr, alors Jean-Baptiste Viet, Jean Viet sur Internet. Donc j’ai une chaîne YouTube avec plus de 100 000 abonnés qui existe depuis 9 ans dédiée à la tech. Mais depuis deux ans et demi, comme tu l’as dit, c’est la folie de GPT et IA générative. Alors je parle de chat GPT, j’adore chat GPT, mais il a plein d’outils d’IA qui permettent de faire des choses mieux, différentes, d’avoir un petit peu son ton, sa personnalité, comme tu disais dans ton dernier épisode de podcast. Donc je partage d’autres IA comme Mistral, comme Claude, comme Notebook LM, etc. Des trucs vraiment géniales en fonction de tes

et j’en parle d’ailleurs dans un livre qui est sorti il a 2-3 mois qui s’appelle Co-créateur qui aide donc publier chez Aerole les créateurs de contenu à utiliser l’IA pour gagner en efficacité, en productivité mais toujours dans l’esprit de garder leur voix qui est unique parce que comme tu disais dans ton épisode il faut pas confier complètement votre communication elle va vous aider l’IA mais elle va pas vous remplacer

Estelle (02:11.63)
C’est plutôt assez rassurant, t’avoue, quand on dit, moi, Lya va m’aider, mais elle ne pas me remplacer, parce qu’on a tous un peu cette peur-là, tu sais, de l’espèce d’inorme robot qui va venir et qui va prendre les humains et les envoyer je ne pas où. Donc effectivement, c’est un côté rassurant. Moi, la question que je me pose, c’est qu’effectivement, depuis deux ans, je m’y suis mise comme plein plein de gens. Je l’utilise au quotidien. Depuis, je pense, deux, trois mois, il y a eu une espèce d’accélération, moi, dans mon quotidien.

ou j’utilise pour des trucs persos, pour des trucs pros partout tout le temps, devient vraiment, je trouve de plus en plus facile. Sauf que quand je te dis IA, moi je pense Tchad GPT. Mais oui !

Jeanviet (02:49.26)
Et ouais, j’ai vu dans l’épisode. Alors tu disais quand même qu’il y avait d’autres dias, mais c’est vrai que tu parlais sans arrêt de chat GPT. C’est un peu là où, entre guillemets, j’ai tiqué parce que il y a des choses qui sont pas bien sur chat GPT, notamment tu parlais d’un épisode dédié à l’uniformisation. Et c’est un petit peu la tendance où tu as dû voir sur LinkedIn tous les posts à chaque fois, les gens qui savent pas bien l’utiliser, vont pas bien le prompter et donc vont avoir tendance à avoir des posts avec des emojis, avec un ton un petit peu copywriter américain.

Et si on prend juste cet exemple là, si tu veux écrire rédactionnel, il a une IA qui est beaucoup mieux que ça qui est Claude. moi, je conseille plutôt aux gens qui sont dans une démarche d’écrire, de faire du storytelling, de partager leur propre piste de parole, quitte à s’enregistrer après de transcrire et demander à Claude, non pas à Tchaatjpt, d’améliorer ça, d’essayer d’avoir une structure en storytelling un peu sur LinkedIn, tu sais où il faut faire une accroche percutante.

Et là, tu n’auras pas tous les émojis et là, n’auras pas tout le discours commercial où il va t’inventer une vie que tu es super successful et donc tu auras quelque part un peu plus ton identité qui est transpareée dans tes publications.

Estelle (03:57.082)
Alors dis-moi un truc parce qu’en fait, et je pense que c’est une peur ultra classique, moi je me suis mise à Tchat GPT. Il y déjà eu, tu sais, ce moment où tu passes le pas, où tu dis « je m’y mets, je teste », bon, il y a quand même une espèce de, tu vois, de petite crainte de « Dieu, est-ce que je vais y arriver ? Est-ce que je vais comprendre comment ça marche ? » Du coup, je te cache pas, moi je n’ai jamais mis les pieds sur Claude. Je ne sais pas à quoi ça ressemble, je ne sais pas s’il faut que je télécharge un truc super compliqué, que…

Comment ça marche ? Est-ce que c’est facile ? Est-ce que connaissant TchaatGPT je vais y arriver ?

Jeanviet (04:24.014)
C’est ultra simple oui. Bien sûr c’est encore plus simple, c’est très épuré comme interface. Donc il faut aller sur Claude comme le prénom, d’ailleurs c’est le prénom de mon père, c’était la fête des Pères hier quand on enregistre cet épisode. Donc j’ai toujours une petite pensée affectueuse moi quand je l’utilise.

en pensant à mon père qui m’a tout appris, Claude comme le prénom, point AI, AI parce que c’est artificial intelligence facile à retenir. Tu vas y aller et en fait c’est très épuré. as juste à rentrer du texte et à lui demander finalement de t’aider à écrire ton poste. Tu peux uploader des documents, tu peux même copier-coller. Il fait ça très bien. Si tu as un gros pavé de texte, il va même pas te le montrer et de façon assez naturelle, il va te répondre. Il va même avoir une petite interface qu’ils appellent Artifact. C’est un peu l’équivalent de KAMVAS sur Ratchat GPT. Il faut savoir que KAMVAS

c’est une idée qu’ils ont volé, qu’ils ont piqué, tout ce qui marche bien en général on pique l’idée du concurrent à Claude qui a été le premier à proposer cette interface où tu as un truc un petit peu agréable à lire sur le côté qui se déplace sur la droite donc je crois que je vais sur TjPT sur la gauche là c’est sur la droite et donc tu peux comme ça

interagir et si le texte ne pas, tu lui dis bah non là ça fait un peu trop ça se survend, c’est pas ma vraie histoire et donc tu es vraiment comme sur Tchège Pétain en mode conversationnel, vois c’est simple. Je t’invite à le tester, tu fais exactement ce que j’ai dit et à ton audience de tester tu verras c’est ultra simple.

Estelle (05:45.754)
Donc en fait je fais un peu comme je fais avec ChatGPT, je me pose pas la question, j’ai pas besoin… Parce que tu vois, l’idée que j’avais derrière, me dis attend, déjà j’ai mis du temps à m’y faire à ChatGPT, etc. Moi j’ai acheté des formations d’ailleurs aussi pour aller essayer de comprendre un petit peu comment ça a marché. Est-ce qu’il faut que j’aille acheter des formations spéciales pour chacune des IA ou est-ce qu’en fait c’est le même principe

Jeanviet (05:58.241)
Ok ? Très bien.

Non, c’est pareil, y a une façon de prompter, de parler aux IA qui est exactement la même. Simplement avec Claude, le résultat ne pas le même parce qu’il a été entraîné différemment et donc il y a deux tâches précises où Claude est bon. Après on verra éventuellement d’autres IA. C’est le rédactionnel, donc tes post-linkings, tes articles de blog. À la limite aussi tes résumés d’épisodes de podcast pour avoir un style un petit peu agréable à lire. Je ne pas si les gens…

sur ce format là, on fait l’effort d’aller regarder. ta newsletter, évidemment, faut utiliser Claude parce que ça, la lit la newsletter. Il est aussi très bon, mais là, ça ne pas parler trop à ton public, à moins qu’il y ait un petit peu des codeurs pour la partie développement web, codage informatique. Donc, cet IA, c’est vraiment pour ces deux usages. GPT, bien sûr, continuez à l’utiliser pour des choses un peu plus… Je ne pas, tu parlais des démarches un peu perso, toi tu utilises, j’en sais rien, peut être pour organiser ta journée, les vacances, voilà.

Estelle (06:58.776)
Mes vacances.

Jeanviet (07:00.82)
et bah va pas demander ça à Claude, il sera pas bon voilà donc il y a un peu une logique tu gardes les habitudes que tu as pris pour compter ces IA alors je sais pas si tu veux qu’on rappelle les basiques mais on rappelle les basiques donc les IA sont entraînés à une date arrêtée donc va pas leur demander une réponse tout de suite dans l’actualité alors si tu le fais faut leur demander maintenant ils le font un peu tout seul sur Tjpt de rechercher sur le web les IA ils donnent des réponses en général

Estelle (07:12.57)
Vas-y, vas-y. Ouais ?

Jeanviet (07:30.322)
assez moyenne. Donc il faut apporter du contexte. Les IA en fait, les LLM, les Large Angase Models, il faut aussi un petit peu les disorienter sur la façon, le format dont tu veux avoir ta réponse. Il faut pas imaginer que l’IA va lire dans ta tête. Va imaginer que toi tu voulais un post pour LinkedIn. Donc il faut lui dire très clairement. Il faut lui dire, on parlait juste avant le démarrage du podcast que tu avais 60%, je crois, d’indépendants qui te suivent. Et bien, il faut le dire ça aussi, quoi, tu vois. Donc c’est bonne pratique. pense que tu

Estelle (07:56.196)
Ouais.

Jeanviet (08:00.176)
tu as fait les formations, continue à les avoir également quand tu vas utiliser Claude, quand tu vas utiliser Mistral, j’en dis un autre, Notebook LM, et je vous ai embrouillé, c’est perdu tout monde là, c’est ça ?

Estelle (08:09.842)
Allez ! Non, non, non ! Mais justement, c’est un peu l’idée, c’est un peu d’ouvrir ses chakras et de dire « attends, on a utilisé Tchatché Pété, on s’est fait la main, machin, c’est cool, c’est drôle ».

Mais comment est-ce qu’on fait après pour aller chercher les spécialistes ? C’est ça que tu es en train de m’expliquer, c’est que finalement les IA, elles nous ouvrent plein de trucs. comme dans tout, comme dans la vie, il a des spécialistes. Et on va avoir Chad GPT. Ce que j’entends dans ce que me dis, tu vas me dire si j’ai compris. C’est que Chad GPT, c’est un peu un généraliste. Il fait plein de trucs à peu près bien. Mais si on veut aller faire, par exemple, du rédactionnel, donc très spécifique sur le rédactionnel, on va aller chez Claude et chacun a sa petite spécialité, c’est ça ?

Jeanviet (08:35.63)
Stay tuned !

Jeanviet (08:43.874)
C’est exactement ça. Et pour reprendre un autre Made in France Mistral, là où il est assez bon et encore plus vrai depuis la semaine dernière, c’est tout ce qui est raisonnement, mathématiques, data analyse. Alors ça peut concerner des gens. Personne n’y pense à ça, mais les LLM sont très bons pour ça. parlais de code informatique, mais ils sont très bons aussi pour analyser tes données. Tu prends tes données de podcast, tes streams, tu veux savoir quels sont les meilleurs épisodes. Tu vas pouvoir envoyer dans le chat Mistral

fichier excel csv et tu vas pouvoir lui poser des questions et avec son nouveau modèle de raisonnement là il ya une petite case à cocher donc l’adresse c’est lechat.mistral.ai voilà et toujours pareil c’est l’interface également très épurée ils essayent de faire en sorte qu’il ait pas trop de boutons dans tous les sens chose qui a tendance à faire 4gpt quand à la version payante maintenant tu as toutes sortes de modèles tu sais plus quel modèle choisir voilà

Estelle (09:37.979)
plus. Oui oui c’est ça, tu sais plus où elle est tellement il en a moi je laisse celle qui est mise automatiquement parce que de toute façon je sais pas à quoi ça correspond donc bon.

Jeanviet (09:43.828)
Exactement. Donc ils ont fait en sorte Mistral de simplifier la chose. L’avantage de Mistral aussi c’est que…

C’était entraîné sur des corpus français, européens, donc il va avoir une sensibilité plus proche de nous quand il apporte les réponses. Mais pour reprendre ce cas, donc Mistral Pensée, Data Analyse, vous envoyez vos fichiers CSV, vous activez le mode réflexion. Et moi, j’ai fait un truc très simple. Comme je suis sur YouTube, je lui ai demandé par rapport à mes dernières vidéos YouTube de me sortir les vidéos pour 1000 vues, qui avaient fait le plus d’abonnés par vue.

parce que c’est un indicateur tu sais que si les gens s’abonnent après avoir vu ton programme c’est que la vidéo a plu parce que quelque part ils ont été sur un engagement qui est le plus fort sur youtube que plus fort que le commentaire plus fort que le like de s’abonner et donc moi ça me donne tu vois facilement des pistes ils me font un petit graphique et tout pour me dire bah alors c’est ce type de vidéo qui plaît et bah la prochaine fois je ferai ça et tu vois on a tendance à pas utiliser ces larges langages modèles pour des fonctions aussi avancées alors qu’elles savent parfaitement le faire elles ont été entraînées pour ça

Mais l’important, tu vois, c’est de donner ta prise de voix, tes données. donc encore une raison de plus d’utiliser Mistral, c’est quelque chose européen hébergé en Europe. vois, donc sur la protection des données, c’est aussi un argument, je pense, fort important pour les responsables de marketing qui te suivent.

Estelle (11:06.378)
Alors attends, y a deux choses là qui m’intéressent vraiment beaucoup dans ce que tu viens de dire. Première chose, ce que tu me dis, c’est que le chat, donc Mistral, je peux lui donner mes data pour me faire toutes mes analyses, mes dashboards marketing, etc. Moi, suis, tu sais, dans le marketing, il y a souvent deux équipes.

Il a les matheux, y a les scientifiques qui aiment bien les chiffres, qui aiment bien analyser, aiment bien un peu triturer tout ça. Et puis il a les créatifs qui aiment bien faire des pubs, des créats, des designs, etc. Moi je suis côté créatif. Clairement, les data, on en a besoin. C’est nécessaire en marketing, tu ne pas faire autrement. Mais enfin, y a des appétances. Moi, ce n’est pas mon kiff. Le chiffre, ce n’est pas un truc qui s’inscrit dans mon esprit. Je le comprends, mais ça ne s’inscrit pas. Là, ce que tu en train de me dire, c’est que je peux balancer mes data à Mistral.

Jeanviet (11:41.848)
Ouais… oui.

Estelle (11:52.792)
et c’est lui qui va me sortir mes dashboards, va me faire les analyses, il va me faire des beaux graphiques qui vont bien pour que j’aille chercher les bonnes infos.

Jeanviet (11:56.95)
Oui.

Oui tout à fait, alors des beaux graphiques, on va quand même comment dire, soupeuser ça, c’est à qu’il va te faire des graphiques dans une interface de chat en utilisant alors, excusez le jargon technique, des librairies Python donc qui permettent de faire un peu de data vise assez simpliste mais ça fait quand même des graphiques en barre, peut faire des nuages de points, tous ces trucs là, un peu qu’utilisent les data analystes. Après tu peux les télécharger, ça va être généré en format image donc on peut imaginer facilement que tu rajoutes ça bien sûr dans

slide powerpoint existants après si tu veux avoir un truc vraiment où il travaille plus à ta place mais il voir les données que tu partages tu vois il ya ce qu’on appelle maintenant les agents IA qui utilisent ces LLM spécialisés pour aller faire apporter une surcouche en plus alors moi il en a un que j’ai testé rapidement je ne suis pas un expert mais Ludo Salen qu’on connaît bien on a parlé longuement sur sa chaîne c’est GenSpark celui là aussi on en parle pas mal

Estelle (12:51.546)
Mmh

Jeanviet (12:56.302)
lui il va te faire carrément, donc là je vais te faire rêver, tes slides powerpoint avec les graphiques qui vont bien et en plus ça va être joli ça va être agréable je parle de slides powerpoint mais on peut faire aussi des slides, des carousels pour linkin tu vois et franchement je l’ai fait en apportant du contexte peu donné et donc il va utiliser ses LLM spécialisés Claude aussi est bon en maths il peut utiliser Mistral je crois pas que Jens Park utilise Mistral mais admettons qu’il utilise Claude parce qu’il est bon en code et

il va t’enlever la couche de complexité donc il faudrait plutôt toi dans ton cas utiliser ces solutions à gens IA qui reviennent en fait à payer un peu l’équivalent de cash gpt plus je crois que c’est 25 euros par mois ne prends pas l’abonnement sur un an, t’essayes un mois tu peux même essayer en gratuit essaye en gratuit d’abord et si tu es convaincu bah pourquoi pas voilà

Estelle (13:49.946)
Mais alors attends que je comprenne. fait, GenSpark, pour prendre cet exemple-là, c’est une solution, c’est un site sur lequel je vais aller, qui lui-même va aller utiliser Claude ou Mistral ou je ne pas lequel, mais il va me sortir des choses déjà clés en main, bien fichues pour que ça fonctionne.

Jeanviet (13:53.198)
Oui.

Jeanviet (14:03.999)
C’est ça.

Ouais, c’est ça. Et ça, c’est plus ce genre d’outils qu’il faudrait recommander à des marketeurs qui ont besoin. Alors faites attention quand même à ce que vous partagez. Là, on est dans un environnement moins protégé européen que Mistral. Donc si c’est des données qu’on vocation à être public, à être partagé, faites-le, tu vois, mais n’allez pas confier. Je donne la même reco pour le TchadGPT. N’allez pas confier toutes vos données à ces IA parce que derrière, c’est dans le contrat en fait qu’on passe avec eux. Ça sert à l’entraînement. Ça, c’est aussi une petite précaution à rappeler.

à pas l’oublier, enfin à l’oublier d’en parler, donnez pas, donnez perso parce que d’ailleurs vous donnez pro de votre activité parce que ça peut resserver après sur une personne qui reposera une question comme ça à l’entraîner on peut se retrouver avec une donnée qu’on a partagé qui se retrouve dans le chat d’un autre et c’est dans les conditions on accepte d’entraîner les modèles. Ouais ?

Estelle (14:55.162)
Alors tu vois c’était ma deuxième question parce que moi c’est quand même un truc qui me surprend depuis deux ans et demi que voilà qu’on est IA, qu’on parle d’IA, parle de chat GPT et d’autres. Depuis je sais pas les…

17 dernières années, on est à fond à dire attention les réseaux sociaux, ne partagez pas trop d’informations avec les réseaux sociaux. On a créé RGPD aussi pour ça. Attention de ne pas donner trop de données parce que bien sûr, les réseaux, leur business, ils prennent la data pour l’utiliser pour après, notamment de la pub, etc. Donc on a tous fait, enfin beaucoup, tout cas moi, je fais très attention à ne pas donner mon avocat’s email à n’importe qui, ne pas raconter toute ma vie sur les réseaux, etc.

Sauf que depuis qu’il a les IA, on est là allègrement à leur dire, moi alors attends je pars en vacances à tel endroit, fais moi le plan machin, mes gamins ils mangent ça, ça, fais moi les menus de la semaine et mon entreprise, voilà ma stratégie, est-ce que c’est une bonne idée ? En fait on leur donne mille fois plus de trucs beaucoup plus sensibles.

Jeanviet (15:43.779)
oui, c’est clair.

Jeanviet (15:58.079)
C’est clair.

Estelle (15:59.204)
Qu’est-ce qu’ils peuvent en faire ? Est-ce que c’est réutilisé pour éduquer l’IA, enfin la faire avancer ? Mais est-ce qu’ils peuvent la revendre ? Est-ce que tu sais ? Je ne pas si tu le sais. Ils la revendent pas ?

Jeanviet (16:06.734)
ouais c’est ça l’entraîner l’améliorer ouais non non non non non ça sert à l’entraînement après on n’est pas à l’abri qu’une donnée soit exploité soit retourné dans un chat donc c’est pour ça qu’il faut faire gaffe donc tu peux donner un petit peu aide moi etc mais ne va pas jusqu’à donner des données très personnelles comme ta carte d’identité etc

Alors rassure toi, ça ne pas publié, partagé, ils feront jamais ça, ils s’en servent pour entraîner. Donc il n’y a aucun risque, tout ce que tu racontes sur tes enfants, ta famille, etc. ça se retrouve sur internet. Par contre, il faut pas aller trop loin dans le niveau de détail et notamment pour les données sensibles liées à ton entreprise parce que ça peut faire comme un espionnage industriel quelque part.

Estelle (16:47.578)
Ben oui, mais oui oui c’est ça. Et c’est ce que tu disais, c’est que Mistral c’est français, c’est européen et du coup on est plus protégé en termes de…

Jeanviet (16:54.606)
J’aurais tendance à le penser mais il faut prendre l’offre pro et il y a un petit casque à cocher, clairement dire qu’on ne pas que nos données servent à entraîner leur modèle. Et alors après pour les entreprises de plus grande taille, là on parle de petits solopreneurs.

Estelle (17:03.277)
Hmm.

Jeanviet (17:07.498)
Il y a aussi possibilité d’utiliser dans l’entreprise, alors nous, moi je travaille à côté chez Orange, on le fait, on a des cloud sécurisés hébergés en Europe, on a développé un outil interne, on parlait de Genspark, un peu l’équivalent qui va interroger tout ces LLM. L’outil s’appelle Live Intelligence, on propose également…

professionnels et là on est sûr que dans le contrat qu’on a passé, qu’Orange a passé avec CLLM, ça va être dans des cloud, ça va pas servir à l’entraînement des cloud européens et donc les salariés, nos salariés peuvent l’utiliser donc voilà ça dépend le curseur jusqu’où tu vas et c’est bien je pense pour une entreprise de grande taille qu’elle s’assure d’avoir un petit peu cette logique là pour que leurs salariés continuent à utiliser comme ils utilisent à la maison les outils d’IA mais dans un environnement protégé et qu’ils ne fassent pas ce qu’on appelle du

c’est à dire aller révéler toutes les données de la boîte à Tchaatjpt et ça fait de comment dire l’espionnage industriel gratos quoi

Estelle (17:59.644)
oui !

Estelle (18:04.756)
Oui, qu’il y a quand même derrière toutes ces entreprises, derrière toutes ces IA, il y a des entreprises, il a des gens. me dis, ils peuvent récupérer les informations et comme tu dis, faire de l’exploitation industrielle, avoir toutes les infos. Parce que c’est un peu facile de dire, voici ma strat, voici mes contraintes, voici mes problématiques du moment, dis-moi ce que je dois faire pour aller mieux. on a toutes les données. Quand tu disais, on peut donner les infos pour faire nos dashboards marketing, de fait, il aussi peut-être faire attention à ce qu’on va partager ou pas.

Jeanviet (18:25.724)
oui !

Jeanviet (18:30.254)
Exactement, il être très prudent et surtout si l’entreprise le fait dans un contexte, est sûr que ça entraînerait pas les IAX, ça bien protégé donc ça se voit au niveau contractuel avec ton fournisseur de Claudia mais là on arrive vraiment dans des spécifiques cités un peu plus complexes qui vont… on va s’éloigner des solopreneurs.

Estelle (18:51.29)
Non mais c’est intéressant parce que si tu veux qu’ils m’écoutent, il a pas que des solopreneurs et du coup je suis d’accord avec toi. Moi c’est un peu ce que je me dis. Depuis le début je me dis bon, moi je travaille seul, moi je suis solopreneur, je fais tout mon montage, mais machin tout seul. Donc je me dis bon effectivement moi à Tchad j’ai pété, je lui pose des questions, je lui dis écoute voilà le marché du podcast ça se passe comme ça, moi je le vois comme ça, est-ce que j’ai raison, est-ce que toi tu vois la même chose quand tu fais tes recherches etc. On discute pas mal là-dessus.

Jeanviet (19:14.734)
C’est bien ça, le brainstorming, l’idéation, c’est génial.

Estelle (19:18.522)
Exactement et moi je trouve qu’il me sort des trucs qui m’ouvrent un peu des perspectives donc super intéressant. Et finalement ce que je me dis, me dis effectivement je lui donne un peu ma strat, je lui donne mon point de vue, ma façon de voir les choses mais en vrai je me dis que c’est pas très très grave, c’est pas Estelle Ballot qui va changer la face du monde. Si on veut faire de l’espionnage industriel c’est pas moi qu’on va venir voir. On va aller espionner Orange, pas Estelle Ballot a priori.

Jeanviet (19:32.718)
Oui, bien sûr. Exactement. Quand on est sauvopreneur, on peut y aller parce qu’il a pas vraiment de danger à partager nos données utiles d’affaires, même quand on est créateur de contenu. Les données YouTube les a de toute façon. Open AI Anthropik qui est derrière Claude ou Mistral les est, c’est pareil. Ça ne rien.

Estelle (19:56.058)
ça ne changera rien. En revanche, on a une entreprise plus structurée, plus grosse avec d’autres enjeux, là, c’est effectivement intéressant de peut-être de bosser avec son service juridique d’ailleurs pour aller vraiment vérifier les contrats et aller ticker les bonnes pour que ce soit bien sécurisé, quitte ce que tu disais quand c’est vraiment plus gros comme Orange à construire un modèle spécifique en interne pour être sûr que ça n’y ait pas de fuite et que ça ne pas n’importe où. C’est quand même, trouve, super important parce que moi, je suis extrêmement surprise du fait qu’avant…

Jeanviet (20:06.016)
Exactement.

Jeanviet (20:14.497)
Oui.

Jeanviet (20:18.591)
Tout à fait.

Estelle (20:25.306)
Je te dis, il a encore deux ans, on ne parlait que de ça, l’importance de ne pas partager toutes ces données avec les réseaux, etc. Les grands méchants GAFA accompagnent. Et puis maintenant, on n’en parle plus du tout. Je trouve ça quand même assez surprenant.

Jeanviet (20:30.19)
Hmm

Jeanviet (20:35.054)
c’est vrai c’est devenu une commodité et c’est c’est pour ça que nous en tout cas chez nous chez Orange on le rappelle sans arrêt et que moi aussi au niveau de ma chaîne youtube j’essaie assez souvent de le sensibiliser et alors il y a quand même pour ceux qui pas les moyens d’avoir un stack d’outils très compliqué comme ça on peut si on a un pc avec une petite carte graphique télécharger des modèles local je parle encore d’un outil s’appelle LM studio donc c’est un logiciel installé sur sa machine et on va pouvoir aller télécharger par

exemple le chat qui est un petit modèle alors je crois qu’il s’appelle Mistral magistral le modèle de raisonnement où on peut aller charger un petit modèle chinois qui va rester sur sa machine quen qui est très bien aussi et tu vas pouvoir partager dedans des documents donc tu es sûr que ça reste sur ta machine ça part pas sur internet exactement ou exactement

Estelle (21:23.498)
ça reste en interne en fait, c’est que tu viens télécharger ton IA à toi personnel qui reste sur ton ordinateur et tu peux lui raconter tout ce que tu veux, du coup il s’entraîne, il est déjà entraîné…

Jeanviet (21:32.482)
Exactement. Il est déjà entraîné. Tu télécharges toute la base d’entraînement. En général, ça fait 4 gigas pour un tout petit modèle de 8 milliards de paramètres. Et celui magistral avec le raisonnement qui est un petit modèle aussi, 24 milliards de paramètres. Il fait 14 gigas. Et donc plus c’est grand en gigas, plus tu dois avoir une grosse carte graphique. Ceux qui des petites machines, je recommande plutôt de prendre des petits modèles à 4 gigas.

Parce que si c’est trop gros, ça va mettre un temps fou et là tu vas plus rien comprendre parce que tu as été habitué à l’expérience de chat GPT où ça va très très vite. Donc, prends un petit modèle et effectivement là, comme tu sais que ça ne sort pas d’internet, tu mets ton document et tu peux lui poser une question. des documents d’autres personnes que tu ne pas forcément, vois dans ce document, quand est-ce qu’il parle de ça et ça et donc ça donne l’avantage en fait d’enrichir le corpus des réponses du modèle et en fait, il va restructurer un petit peu, aller chercher à ta

Estelle (22:02.126)
Ouais, ça va Rami.

Jeanviet (22:29.264)
le point saillant du gros document de 100 pages qu’on n’a pas envie de s’en filer. Pour les contrats c’est génial ça. Les contrats tu ne vas pas partager un LLM publiquement en ligne. Donc tu peux refaire lire une petite clause de contrat que tu as avec un partenaire et voir que tu lui poses la question ouverte. Est-ce que tu peux revoir… Moi je fais souvent les contrats qu’on fait de créateurs de contenu quand tu fais du sponsoring.

Estelle (22:33.658)
Jeanviet (22:56.258)
est-ce que le contrat est équilibré, est-ce qu’il a pas une clause qui plus en faveur de la marque ? Et est-ce que j’ai bien la maîtrise de mon image ? Et donc au lieu d’aller voir les 12 pages, et en plus c’est écrit en anglais, donc ils sont très bons en langue aussi, il va le lire à ma place, va le traduire à ma place et va savoir attention à point là, et je rebondis au mêle de la marque en lui disant non, ça il qu’on revoit.

Estelle (22:59.802)
De l’un ou de l’autre. ouais.

Estelle (23:19.642)
Non mais ça c’est super intéressant de voir que tu peux avoir une sorte de mini IA si je résume qui vient sur ton ordi qui bouge pas où tu sais que là des données sensibles tu peux les partager parce que de toute façon ça reste chez toi ça ne sort pas on n’est plus connecté.

Jeanviet (23:25.965)
Oui.

Jeanviet (23:31.114)
Oui, ça sort pas, ça arrêchait toi. À moins de se faire hacker son ordinateur, mais… t’es un antivirus, faut rééduquer tout le monde. Oui. Voilà, faut cripter le PC, Exactement. On revient aux basiques de la sécurité, voilà.

Estelle (23:36.396)
Oui alors là c’est encore autre chose. Ben voilà, c’est ça. Ou alors te faire piquer l’ordinateur et là t’es censé avoir un bon mot de passe et pas le mot de passe de la date de naissance de ton deuxième enfant. C’est ça. Ok super. Bon donc j’ai compris comment on fait quand on veut faire de la rédaction, quand on veut faire du dev, quand on veut faire des maths, des analyses. Est-ce qu’il y a d’autres IA qu’il faut que je connaisse pour des spécificités particulières

Jeanviet (24:03.884)
Oui, il y en a une super de Google dont tout le monde parle, c’est Notebook LM pour faire de la recherche documentaire. donc là, ultra puissante parce qu’elle repose sur le Geminid 2.5 Pro. Alors encore un truc technique, mais c’est un modèle qui peut ingurgiter un million de tokens. Alors tokens, ça va encore effrayer les gens. faut imaginer 10 livres de 300 pages. C’est juste en termes de limites. Il n’y a aucun modèle qui sait faire ça. donc, truc un peu pratique.

Estelle (24:15.578)
Mmmh

Estelle (24:22.586)
Haha

Jeanviet (24:30.542)
Moi je le fais pour mes vidéos YouTube. elle est tellement intelligente qu’elle va récupérer la voix, va transformer en texte. Également les images, ce qui se passe quand tu fais des plans d’illustration etc. que je monte des choses à l’écran, ce qu’on appelle un screencast capture d’écran où je fais des manipulations. donc l’IA via Notebook LM ou via, alors je vais encore donner un outil, iStudio de Google parce que c’est gratuit. N’allez pas encore une bonne recours. Alors je vais me faire engueuler par Google mais c’est pas grave.

n’allez pas sur gmini.google.com c’est l’interface qui pousse à coup de gros budget de communication mais allez sur l’interface alors elle fait un peu peur aistudio.google.com qui est réservé aux développeurs mais on peut l’utiliser très facilement comme Claude comme le chat on met sa vidéo youtube on pose des questions dessus et on peut même carrément moi je le fais c’est pour mes articles de blog

Estelle (25:04.953)
Ouais.

Jeanviet (25:23.262)
en donnant un exemple, un template. Moi, j’utilise WordPress d’un article que j’ai déjà écrit. On peut utiliser avec Substack aussi ceux qui ont l’habitude d’utiliser Substack pour leurs newsletters. va me faire exactement, je dis fais dans le ton, moi je tutoie mes lecteurs, donc continue à tutoyer. comme il va prendre la vidéo que j’ai créée, c’est un conseil que je donne. Prise de voix, c’est toujours plus fort que demander d’écrire à ma place sans contexte. Et donc tu as tout ça dans la vidéo YouTube. On pourrait imaginer aussi envoyer un audio et il me faire un texte, vraiment très agréable à lire.

Estelle (25:28.634)
Mmh.

Jeanviet (25:53.088)
que j’aurais pu écrire moi-même mais il a écrit à ma place ça a pris même pas une minute et je pourrais presque publier comme ça mais peut-être encore une recos que je donne que tu as déjà partagé les IA elles rêvent le terme consacré c’est elles hallucinent et donc faut toujours revenir parce que comme elles veulent, elles ont un esprit créatif, elles veulent au rang la vérité plus belle qu’elle n’allait faut toujours un petit peu enlever le curseur où il a une petite exagération un petit peu modifiée et même aussi

souvent elles ont l’intendance, elles peuvent pas s’arrêter, elles veulent toujours conclure les conclusions, les textes un peu pompeux, il a des répétitions, faut un petit peu les gommer. Donc il a encore ça à gommer mais Gemini 2.5 Pro sur Notebook LM ou A.I Studio c’est génial.

Estelle (26:37.72)
Et donc quand tu dis on peut leur donner de l’audio, pardon je pense à ma pomme, je peux leur donner mon épisode de podcast, mon enregistrement et lui dire rédige moi un article de blog bien fichu pour le SEO. Ça laissez faire.

Jeanviet (26:43.725)
Oui.

Jeanviet (26:48.182)
Tout à fait. ouais, c’est parfaitement adapté. Alors tu donneras un peu plus de contexte. Alors on pourrait penser que même si c’est Google derrière qui l’ont traîné, qui sait comment ça marche les SEO, mais tu peux lui donner une petite guideline de Google en plus. sert à ça vu que tu peux mettre 10 livres dans la recherche. Et effectivement, il va le faire. Un truc un peu pratique que j’utilise et qui va te parler aussi toi Estelle pour ton podcast, c’est les time codes pour naviguer directement dans le passage intéressant.

Donc tu donnes l’audio et tu lui dis alors on peut pas encore faire le transcript mais il a bien conscience des temps où telle phrase a été dit. Tu peux lui dire carrément moi je fais ça pour mes vidéos YouTube. Fais moi le sommaire des timecode YouTube et donc il va mettre à 30 secondes. a ça à 2 minutes 30 il parle de tel outil de Mistral. Là si on prend ton podcast on est à 27. Ça sera monté mais il va parler de notebook et LM et toi tu n’as même pas te prendre la tête à faire ça. Le truc te le fait à ta place.

Estelle (27:45.274)
Top top top. Ouais donc vraiment vraiment super intéressant sur tout ce qui va être audio vidéo etc. et d’aller prendre les informations directement dedans. Est-ce qu’il a, on parle de vidéo, moi je te disais en off juste avant qu’on enregistre moi la vidéo, bon j’y pense, le podcast, est-ce que je le passe en vidéo, c’est beaucoup de travail etc etc. Est-ce qu’il a des IA qui peuvent m’aider sur la vidéo ? La création visuelle tu vois ?

Jeanviet (28:07.854)
ouais, une simple qu’on utilise en ce moment, Riverside FM, elle fait ça plutôt pas mal.

Qu’est qu’elle fait de bien moi je trouve, c’est qu’elle sait quel est l’interlocuteur qui parle. Et un truc vraiment basique, moi je le fais pour mes montages de podcasts quand j’ai un invité. D’ailleurs Estelle, je te lance l’invitation. C’est quand tu veux sur la chaîne YouTube qu’on parle marketing et IA, ça me ferait vraiment plaisir de te recevoir. Donc imagine on fait cet épisode et je vais le publier. Je vais pas publier si notre conversation dure 40 minutes, on va essayer de réduire à 20 minutes. Et ce qui intéressant, c’est qu’on te voit quand tu parles et qu’on me voit quand je parle et que parfois on fait ce qu’on appelle des splits.

Estelle (28:24.046)
Ouais. bah avec plaisir. bah je viens.

Jeanviet (28:44.368)
les deux personnes parlent côte à côte donc Riverside FM fait ça bien et c’est super agréable c’est beaucoup moins chiant que les webinars zoom où tu le split screen permanent et ça tu publies ça sur youtube mais c’est un enfer ça marche pas du tout donc doit déjà rien que ça pour tes invités tu pourrais faire ça utiliser basiquement Riverside FM

Estelle (28:44.922)
Mmh.

Jeanviet (29:06.57)
Si tu veux monter un cran un peu plus, imagine que tu t’enregistres dans un studio de podcast. Je l’ai fait avec Sandy, Jacobi, c’est grâce à notamment qu’on a fait la connexion.

Estelle (29:15.61)
C’est ma copine.

Jeanviet (29:18.846)
J’avais des rushs tournés dans un studio podcast. Ils te donnent des des fichiers très gros de très bonne qualité. J’ai utilisé un outil de montage et dans l’outil de montage, ça s’appelle Premier sur PC. toi tu as un PC, je sais que ça va te parler. Il y a un petit plugin qui s’appelle Autopod et qui fait en local exactement ce que fait Riverside FM. De façon intelligente, automatique, il va te faire toutes les découpes de l’interlocuteur. Alors il faut préparer un peu les fichiers, faut avoir la piste sonore.

parce que tu as ça nativement dans Riverside de Estelle, la piste sonore de janvier, les trois pistes vidéo, celle où on est ensemble, celle où je suis tout seul et celle où tu es tout seul. Tu prépares juste ça et après tu appuies sur le bouton et tac tac tac tac tac il fait toutes les petites coupes qui vont bien. Allez en deux minutes si toi tu avais dû faire ça manuellement sur un épisode qui dure 40 minutes mais laisse tomber, tu aurais passé deux heures, trois heures. Donc là, là, vois vraiment un truc très cool pour toi.

Estelle (30:15.052)
Ok super facile à faire, Riverside en plus, moi c’est le logiciel que j’utilise pour enregistrer les épisodes de podcast, donc j’ai déjà tout, ultra simple et si je veux aller sur première on peut faire directement sur première. Trop bien, trop bien. Est-ce qu’il y a d’autres choses ? Est-ce tu…

Tient, on n’en a pas parlé en off, donc je ne sais pas si tu vas être capable de me dire, mais je l’ai vu et je n’en entends plus parler. J’ai vu des… Alors c’est plus peut-être pour les créateurs de contenu ou sur les réseaux sociaux, des vidéos où t’es une personne qui parle, qui parle d’un sujet lambda. Et puis d’un coup, t’as des incrustations d’autres vidéos qui viennent illustrer. Par exemple, je suis en train de dire, oui, c’est vraiment super bien de partir en vacances et de courir sur la plage. Et là, pouf

Dans la vidéo, tu as l’image de quelqu’un qui court sur la plage. Est-ce que ça, j’ai inventé, ça n’existe pas, c’est des gens qui s’embêtent à trouver ou il a des IA qui font ça ?

Jeanviet (30:57.526)
Oui.

Jeanviet (31:03.65)
Cici, oui.

Il a des IA qui font ça, c’est ce qu’on appelle en anglais le terme des B-Rolls, des plans d’illustration pour reprendre les termes du monteur. Et effectivement sur un interview ou même un discours face caméra, si on te voit tout le temps en parler, c’est un peu chiant pour le viewer. donc c’est la bonne recours, c’est toutes les dix secondes essayer de varier les plans. Alors si tu fais pas de zoom des zooms, au moins apporter des petites images d’illustration et là ça s’y ferait bien. Oui alors comment il y a des outils Opus Clip qui fait ça si tu lui files une vidéo YouTube.

va te faire les petits shorts avec les petits beryls qui vont bien c’est une fonctionnalité un peu expérimentale je l’ai testé alors à chaque fois ça marche pas super bien parce qu’il choisit pas le bon plan dans l’esprit ça devrait marcher mais malheureusement l’IA je vais prendre un exemple sur la génération d’image

Pour arriver à un bon résultat, souvent il faire 4-5 itérations pour choisir la bonne image. Tout ce qui génération d’image, c’est pire que génération de texte en termes de retouche. que là, en fait, les défauts, les hallucinations, tu les vois tout de suite. Si c’est pas net, si tu as un doigt en plus que l’autre, c’est assez frappant. le tout automatisé, on n’y est pas encore. Mais dans l’esprit, oui, puisque c’est très facile de transformer du texte en image. Et puis au-delà,

Estelle (32:11.065)
Oui !

Jeanviet (32:22.632)
de ça, tu peux également animer, il y a plein d’IA maintenant vidéo donc…

les chinois sont assez bons, il Klinge AI qui est très bon pour ça, Google aussi commence à bien s’y mettre et devient un petit peu fait le buzz avec une AI qui s’appelle VO3, la troisième version qu’ils ont vraiment réussi maintenant à mettre le son donc on pourrait avoir la personne qui parle sauf que tu n’as pas vraiment la maîtrise donc les plans sont très bien on pourrait utiliser VO3 le seul problème c’est que pour l’instant c’est pas dispo en France il faut utiliser des outils tiers des API et ça coûte une blinde je vais te donner les tarifs pour te faire peur si tu veux une

vidéo de 8 secondes faut payer 6 dollars

Estelle (33:01.202)
oui. Bon, qu’elle soit très bonne, ma vidéo.

Jeanviet (33:04.47)
les autres videos chinoises qui sont très bien, ça va être plutôt 50 centimes donc c’est quand même un coup si tu veux mais quand tu sais combien ça coûte à faire une vidéo même acheter des vidéos stock c’est beaucoup moins cher que d’acheter des vidéos stock

Estelle (33:18.488)
C’est ça, c’est ce que j’allais dire. Le coût des IA à chaque fois, on me dit oui mais attends, il faut payer, machin, etc. Je dis mais d’accord, fine, très bien. Si tu devais payer un prestataire pour le faire de la même… Alors le prestataire le ferait peut-être encore mieux, bien sûr, mais il n’empêche que tu serais obligé de payer quelqu’un qui va te coûter beaucoup beaucoup plus cher. c’est toujours intéressant d’aller regarder que le tout gratuit à un moment donné, on sait bien que tout ne sera pas gratuit et que si on veut de la qualité nécessairement, va falloir payer.

Jeanviet (33:37.294)
Oui.

Jeanviet (33:44.662)
En tout cas je vois que tu es en passe de passer à la vidéo là Estelle parce que tu prends tous les bons réflexes tu poses toutes les bonnes on voit que tu t’y prépares

Estelle (33:51.51)
J’espère. Écoute, je m’y prépare, j’y réfléchis, je suis pas sûre encore, je doucement mais ça viendra, ça viendra, ça viendra peut-être sur le podcast par petits bouts. Moi tu sais, je pense que ce qui va se passer, c’est que je vais pas passer le podcast en vidéo, je vais donner quelques vidéos ou quelques épisodes choisis qui me semblent être une bonne idée et puis on verra, on verra ce que l’audience veut faire.

Jeanviet (34:13.32)
C’est une bonne démarche, Data Analyse, tu regardes dans Mistral tes podcasts qu’on les plus fonctionnés. peux même extraire, je sais pas si tu vois ça dans les analytics, quoi ? sur Spotify, Ocha. Est-ce qu’il te donne les passages les plus écoutés ou pas ?

Estelle (34:24.952)
Moi, j’ai Eau Chale actuellement.

Estelle (34:29.996)
Non, ils te donnent les endroits où les personnes sortent.

Jeanviet (34:33.358)
ok donc ça c’est le truc à pas mettre

Youtube on a ça en fait, sait quels sont les passages les plus écoutés, les plus visionnés et c’est des infos qu’on peut les y avoir si vous voulez. donc on peut les partager pour notamment dire, ça j’ai intérêt à en faire, je sais pas si j’ai un potigrasse de 30 minutes, cette séquence de 5 minutes qui a particulièrement plu aux gens, je la racontextualise, je fais un nouveau titre et on sait que ça pourrait marcher sur Youtube et si c’est encore plus court sur TikTok ou sur Reel, sur Instagram.

Estelle (34:43.93)
Hmm.

Estelle (35:02.106)
Et ouais, tu fais des shorts. Ok, écoute, super intéressant. Écoute, merci beaucoup Jean-Baptiste de nous avoir expliqué tout ça. Je vais essayer, ça va être compliqué, mais je vais essayer de faire un résumé en une minute de tout ce que tu nous as dit, ce que tu nous dis déjà. Et moi, c’est la vraie info que je garde de tout ça, c’est attention.

les IA, c’est pas que ChatGPT et oui bien sûr ChatGPT a fait une super opération de com et une super opération de prise en main finalement. On a découvert tous et tous l’IA avec ChatGPT mais d’abord l’IA existe depuis déjà bien longtemps et puis surtout il y en a plein d’autres des IA. Et ChatGPT c’est un peu généraliste qui nous permet de faire plein de choses super facilement mais si on veut rentrer dans le détail pour des points bien précis

on peut faire beaucoup mieux avec d’autres IA. Alors ce que tu nous dis, tu nous dis Claude, génial pour l’écriture, la rédaction, les résumés et même si on veut faire du dev, du développement du code, on peut aller avec Claude. Tu nous dis Mistral.

Avec le chat, moi j’adore ce nom, le chat, je trouve ça génial. Donc Mistrali sont français, donc évidemment européens. On est probablement plus sécurisés. Puis c’est une boîte française. Moi, j’aime bien l’idée aussi qu’on aille soutenir les boîtes françaises. Donc là, on peut aller travailler avec eux sur du raisonnement, notamment tout ce qui raisonnement mathématique, data, analyse des data, ultra, ultra intéressant. Tu nous précisais d’ailleurs que si on veut aller plus loin, parce que je te disais, moi, j’aime pas faire les charts,

les graphiques, etc. Tu nous dis qu’on peut utiliser des agents IA qui vont aller eux se plugger sur d’autres IA comme Jen Spark, tu nous disais. Ça peut être super intéressant, ils font le boulot pour nous. Tu nous as parlé aussi de… Alors ça, j’ai beaucoup aimé. Le côté sécurité. Là, ce qu’on se dit, c’est que Mistral, Européens, peut imaginer qu’on est plus en sécurité. Mais si on veut vraiment être sûr d’avoir quelque chose, des infos qui ne vont pas sortir. Tu nous disais d’abord, on peut demander à nos services juridicaux

Estelle (36:58.94)
si a un service juridique, d’aller regarder dans les contrats, de ticker les bonnes cases pour qu’on n’entraîne pas l’IA. Si on veut aller un cran plus loin, on peut faire quelque chose en interne. Tu disais chez Orange, vous, avez votre IA interne. Mais je te dis, mais attends, mais moi, je ne pas orange, je n’ai pas les moyens de construire une IA. Mais là, tu me dis LM Studio, ça va me permettre d’avoir une petite IA, une micro IA, je sais pas comment on peut appeler ça, qui est sur mon ordi.

Jeanviet (37:11.18)
Bien sûr.

Jeanviet (37:18.454)
Exactement, petit modèle ouais.

Estelle (37:21.516)
et qui du coup ne pas sortir, je ne pas avoir de risque. ça, je trouve ça vraiment très très chouette. Tu disais notamment pour analyser les documents juridiques, les contrats, vachement bien. Effectivement, tu n’as pas envie que ça sorte et que tout monde sache ce que tu fais. Et d’ailleurs, tu n’aurais probablement même pas le droit. Voilà, exactement. Ça, ça reste en interne. Ok, donc ça, c’est vraiment très très cool. Et puis tu nous disais pour tout ce qui est vidéo.

Jeanviet (37:27.926)
Les contrats ? Ouais.

Jeanviet (37:35.33)
Combien Estelle est payée pour ces sponsorings ?

Estelle (37:45.016)
Parce qu’on le sait bien sûr la vidéo va aller de plus en plus vite. On peut aller chercher des IA plus ou moins complexes qui vont pouvoir nous aider. On va avoir Riverside FM, c’est le logiciel que j’utilise pour enregistrer les podcasts. est top. Tu vas avoir Opus Clip qui va pouvoir nous aider ou Kling AI ou VO3 qui vont pouvoir nous aider pour aller intégrer des éléments vidéo dans une vidéo. Et puis pour ce qui est de la recherche documentaire, pardon je suis passé trop vite, il a Notebook LM qui nous dit ça c’est génial.

Jeanviet (37:55.648)
Oui, plus simple.

Jeanviet (38:14.125)
Oui.

Estelle (38:14.94)
génial, ça vient aller chercher toutes les infos, peut lui donner des données à ne plus savoir qu’en faire et il vient pouvoir trouver les éléments qui vont nous intéresser. Donc tout ça, on peut y aller. Ça fait beaucoup d’infos. crois que je vais faire, si tu en es d’accord Jean-Baptiste, je crois que je faire une espèce de documents résumés où je vais mettre toutes ces différentes IA et voir comment est-ce qu’on peut les utiliser. Ça nous fait un petit pansbête à se coller sur le coin de…

Jeanviet (38:28.332)
ouais !

Jeanviet (38:43.534)
Ouais c’est bien, bonne idée !

Estelle (38:44.98)
Parce que tu vois moi je me dis que j’ai pris des réflexes avec avec chat GPT là je me dis tout de suite mais attends telle chose je vais le faire avec le chat ou avec Claude etc

Jeanviet (38:53.822)
Premier petit pas pour tes auditeurs, essayez Claude et pour vos posts linkin et vous regardez et après vous serez convaincus d’aller essayer les autres qui a spécialisé mais je pense à leur parler parce que vous êtes dans les rédactionnels sur le marketing c’est important à notre prise de parole donc essayez déjà celui là

Estelle (38:56.835)
Ouais.

Estelle (39:02.178)
bien génial

Estelle (39:09.246)
ben écoute, génial, on va faire ça. J’ai pas testé Claude, j’ai testé le chat, mais je vais aller tester Claude juste après notre enregistrement. Merci infiniment Jean-Baptiste. Où est-ce qu’on peut te retrouver si on veut aller plus loin, en savoir plus ? J’en sais rien, te poser des questions. Où est-ce qu’on te retrouve ? Dis-moi.

Jeanviet (39:24.878)
Le plus simple c’est ma chaîne youtube janvier, j’utilise janvier alors je vais le dire à l’oral puisque on est sur un podcast c’est mon premier prénom jean et mon nom viet c’est un moyen mémo technique de se souvenir qu’il faut pas dire viet mais vie mais ça s’écrit pas comme le moi voilà donc vous allez commenter sur youtube mais vous ne dites pas salut février salut mars

Estelle (39:50.138)
On en a marre. Vous n’êtes pas le premier.

Jeanviet (39:52.088)
C’est la petite blague qu’on me fait et c’est très bien sinon on peut me retrouver sur X-Twitter ou sur LinkedIn avec exactement le même pseudo et je serais ravi d’interagir avec vous.

Estelle (40:02.488)
ben génial, je mets évidemment tous les liens dans les notes de l’épisode et puis si vous faites de la création de contenu, allez lire le bouquin de Jean-Baptiste parce que vous allez avoir toutes les infos et comprendre comment vraiment bien utiliser les IA. Merci infiniment Jean-Baptiste de nous avoir éclairé ou ouvert nos chakras sur l’IA. Tu reviens quand tu veux sur le podcast du marketing. Avec plaisir, carrément. Rendez-vous pris.

Jeanviet (40:26.722)
Et bien c’est toi qui vient la prochaine fois alors, merci Estelle. Tu viens chez moi.


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